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Saint-Chamond
15 novembre 2018

liste des anciens élèves de l'école Sainte-Marie de Saint-Chamond tués à la guerre de 1914-1918

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (1)

 

 

liste des anciens élèves de l'école Sainte-Marie

tués à la guerre de 1914-1918

 

J'ai retrouvé dans les archives de l'école Saint-Marie, déposées aux archives municipales de Saint-Chamond, une brochure éditée par l'école, dès 1918, recensant tous les anciens élèves morts pendant la Première Guerre mondiale.

  • On en compte 143.
  • Tous ne sont pas identifiés quant à leur origine géographique. Mais quand celle-ci est indiquée, il est possible de relever 21 anciens élèves provenant de Saint-Chamond (soit 15% environ).
  • L'école Saint-Marie a donné à l'armée de nombreux sous-officiers (sergents) : 18 éléments (soit 12,5%) ; ou officiers (aspirant, lieutenant et même capitaine) : 30 éléments (soit 21%). Les officiers et sous-officiers représentent donc un tiers des anciens élèves de Sainte-Marie.
  • Il y a aussi 3 aviateurs.
  • On remarque des combattants engagés dans l'encadrement des troupes coloniales : 5e Colonial, Tirailleurs algériens, 1er et 2er régiment de Marche d'Afrique, 8e Colonial, 3e Zouaves, Chasseurs d'Afrique, 54e Colonial d'artillerie.
  • Pas mal de Chasseurs alpins également : 15 éléments (10,5%).

 

institution Sainte-Marie, cpa
Sainte-Marie telle que les anciens élèves l'ont connue : la chapelle n'était pas encore construite, elle le fut en 1923

 

 

liste des anciens élèves tués à l'ennemi

 

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (1)
Liste des anciens élèves tués à l'ennemi,
Institution Sainte-Marie près Saint-Chamond, 1918

 

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (2)

 

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (3)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (4)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (5)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (6)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (7)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (8)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (9)

liste anciens élèves Sainte-Marie tués, 1914-1918 (10)

 

 

Liste des anciens élèves

de l’institution Sainte-Marie morts pour la patrie,

1915-1918

 

1 - Étienne AGIER, de Bastia (1916).

1 - Maurice ALIROL, aspirant au 87e d’Infanterie, disparu le 7 mai 1917, au mont Spuy, entre Berry-au-Bac et Reims.

3 - Camille AUVERGNON, du Puy, sergent au 61e d’Infanterie.

4 - Georges AUZENAT, caporal au 32e bataillon Alpins, tué à Vaux, le 15 décembre 1916.

5 - Louis BADINAND, de Saint-Étienne, capitaine d’Infanterie.

6 - Jean BAJARD, de Rive-de-Gier, caporal au 157e d’Infanterie, tué le 7 avril 1915, au bois de Montmart.

7 - Maurice BALAS, de Saint-Chamond, caporal au 13e bataillon de Chasseurs Alpins, tué le 14 juin 1915, près de Metzeral (Alsace).

8 - Stéphane BALAS, de Lyon, Artillerie lourde.

9 - Joseph BALP, de Vienne, au 22e d’Infanterie, tué le 25 septembre 1914, à Foucancourt.

10 - Paul BARATIN, de Lyon, au 157e d’Infanterie, tué au bois d’Avocourt, le 29 mars 1916.

11 - Alfred BARD, d’Albertville, au 109e d’Infanterie, mort le 11 décembre 1914.

12 - Pierre BARRET, du Puy.

13 - Paul BERNARD, de Dijon, capitaine.

14 – Raymond BLANC, de Saint-Étienne, au 38e d’Infanterie, tué le 25 août 1914.

15 - Louis BLANCHON, au 210e d’Infanterie, mort de ses blessures à l’ambulance alpine, le 4 mars 1917.

16 - Jean BOIRON, de Saint-Chamond.

17 – Dominique LA BONNARDIÈRE, de Lyon.

18 - Antoine BONNET, de Lyon, sergent au 5e Colonial, mort le 14 juillet 1915.

19 - Paul BONNET, de Rive-de-Gier, caporal au 153e d’Infanterie, tué le 29 avril 1918.

20 - Léon BORDET, de Saint-Étienne, sergent au 51e bataillon de Chasseurs Alpins, tué à Saint-Dié, le 27 août 1914.

21 - Louis BOULIN, de Saint-Étienne.

22 - Jean BOURDERY, de Lyon, lieutenant au 12 Génie.

23 - Joseph BROTIER, de Saint-Étienne.

24 - Irénée BRUN, de Saint-Chamond, aviateur.

25 - Maurice BUREL, de Lyon, au 17e d’Infanterie.

26 - Antoine CAILLET, de Lyon, sergent au 159e d’Infanterie, tué le 5 septembre 1914, au col des Haut-Bois (Vosges).

27 - Henri CARSIGNOL, de Valence, lieutenant au 22e d’Infanterie, tué le 24 septembre 1914.

28 - Antonin CARTERON.

29 - Ernest de CHABANOLLES, au 54e d’Artillerie, tué le 16 octobre 1916.

30 - Dominique CHABUEL, de Lyon, au 175e d’Infanterie, tué aux Dardanelles.

31 - Joseph CHALAND, de Saint-Chamond, au 38e d’Infanterie, tué à l’Écouvillon (Oise), le 16 septembre 1914.

32 - Paul de LA CHAPELLE, de la Rouge, près de Bourg.

33 - Antoine CHATAGNON, de Saint-Chamond, au 22e d’Infanterie.

34 - Raymond CHOMIENNE, de Lorette, caporal mitrailleur, tué le 27 août 1914, à Baccarat.

35 - Marcel COLIN, de la Tour-Salvagny.

36 - Émile CONVERS, de Saint-Paul-Saint-Romain.

37 - Jean-Baptiste COS, d’Alger, aspirant aux Tirailleurs algériens, tué au Bois des Corbeaux, le 7 mars 1916

38 - Claude COURBON, télémétreur de la 2e compagnie de mitrailleurs du 1er régiment de Marche d’Afrique.

39 - Marcel COUVERT, au 99e d’Infanterie, mort des suites de ses blessures, à 37 ans.

40 - Louis DEBARD, de Saint-Chamond, au 22e d’Infanterie.

41 - Charles DÉCHELETTE, de Montagny, caporal mitrailleur au 37e d’Infanterie, tué le 22 décembre 1914, à Bischoote (Belgique).

42 - Édouard DÉCHELETTE, de Porto.

43 - Joseph DÉCHELETTE , de Roanne, capitaine au 298e d’Infanterie, chevalier de la Légion d’honneur, tombé mortellement frappé à Vingré (Aisne), le 4 octobre 1914.

44 - Marcel DELAY, de Rive-de-Gier, au 22e d’Infanterie, tué le 24 août 1914, au col d’Urbeis (Alsace).

45 - Henri DESBENOIT, lieutenant au 232e d’Infanterie (décoré de la Croix de guerre).

46 - Jean DUCLAUX DE MARVILLE, sous-lieutenant au 414e d’Infanterie, tué le 3 août 1916.

47 - Ennemond DUCLOS, commandant la 23e compagnie du 252e d’Infanterie, tué le 27 mai 1918.

48 - Thomas DUGAS, de Saint-Chamond.

49 - Jules DUPIN, de Montbrison, sous-lieutenant au 30e Alpins.

50 - Francisque DUPRÉ, de Panissières.

51 - Charles DURAND, d’Annonay, aviateur.

52 - Joseph ESCOFFIER, de Lyon, lieutenant au 30e Dragons, tué le 28 janvier 1915.

53 - Georges EYMARD, de Lyon.

54 - Paul FAVIER, à la 13e section d’Infirmiers, mort à l’hôpital militaire de Mayenne.

55 - Marc FINAZ, de Saint-Chamond, lieutenant au 238e d’Infanterie, tué le 13 novembre 1914, à Vouvron (Aisne).

56 - Maurice FOUCHÈRE, de Grand-Croix, caporal au 28e Chasseurs alpins, tombé mortellement frappé le 6 septembre 1914, vers Mandray.

57 - Jacques FOUJOLS, de Saint-Étienne, caporal au 339e, mort le 4 octobre 1914.

58 - Pierre de FRAIX, de Moulins, sergent au 98e d’Infanterie, blessé mortellement à Lassigny, le 22 septembre 1914, mort le 10 novembre.

59 - Pierre FULCHIRON

60 - Francisque dES GARETS, de Saint-Donat, mort à Strasbourg, le 22 août 1914.

61 - Charles GIGNOUX, de Lyon, sergent.

62 - Roger GIGNOUX, commandant.

63 - Pierre GIRAUD, de Lyon.

64 - Henri GONNET, lieutenant au 14e Chasseurs, tombé pour la France le 18 juin 1918.

65 - Frédéric GOUY, de Vals, sergent au 8e Colonial, tué le 27 août 1914.

66 - Jean GOUY, de Vogüé, sergent des Chasseurs alpins.

67 - Iwan GRANGIER, de Saint-Chamond, au 312e d’Infanterie.

68 - Henri de GRASSIN, brigadier au 1er d’Artillerie, mort le 19 septembre 1916, à Châtillon-sur-Seine.

69 - André GUICHARD, de Saint-Étienne, caporal mitrailleur au 22e d’Infanterie, tué le 4 septembre 1914, aux environs de Saint-Dié.

70 - Pierre GUICHARD, de Vienne.

71 - Raoul HANOTTE, de Saint-Symphorien-de-Lay, blessé mortellement le 16 septembre 1914, à Ellincourt-Sainte-Marguerite (Oise).

72 - Antonin HUMBERT, de Saint-Martin-en-Coailleux, sergent au 268e, tué le 8 septembre 1914.

73 - André JACOB, de Saint-Étienne.

74 - Charles JAUBERT, au 99e d’Infanterie, détaché au contrôle postale de Bellegarde, décédé le 7 mai 1917.

75 - Pierre JAUBERT, de Lyon, sregent au 52e de Ligne, tué le 1er novembre 1914, à Villers-Bretonneux.

76 - René JAUBERT, de Lyon, capitaine au 29e Chasseurs, tué le 10 septembre 1914, au combat de la Vaux-Marie (Meuse).

77 - Henri JOSSERAND, de Lyon, au 1er d’Artellerie de montagne.

78 - Irénée JURY, de Saint-Champond, capitaine au 121e Chasseurs à pied, tué le 27 juillet 1915.

79 - Joseph KLOTZ, de Saint-Chamond, caporal au 122e d’Infanterie.

80 - Alphonse LAMBERT, d’Annonay, aspirant, tué le 30 juin 1915.

81 - Aimé LAMY, élève aspirant au 116e bataillon de Chasseurs alpins, tué le 25 avril 1917, au Chemin-des-Dames.

82 - Paul LANGERON, de Lyon, pilote aviateur de la 2e réserve, tué accidentellement en service commandé, le 22 août 1914.

83 - Jean LAURENT, sous-lieutenant au 31e d’Artillerie, chevalier de la Légion d’honneur, tué le 25 mai 1917.

84 - Paul de LESTRAC, lieutenant au 6e Tirailleurs algériens, tué le 28 août 1917.

85 - Joseph LEVRAULT, d’Aubenas.

86 - Louis LEVRAULT, d’Aubenas, au 52e d’Infanterie, tué le 3 septembre 1914, près de La Salle.

87 - Georges MAILLARD, de Rive-de-Gier, au 11e Chasseurs alpins.

88 - Pierre MANÈS, au 18e d’Artillerie, tué le 1er juillet 1916, à la carrière de l’Éclusier, près Cappy (Somme).

89 - Joseph MATHIEU, de Toulon, capitaine, tué en Alsace, au début de la guerre.

90 - André MAYET, de Lyon, brigadier éclaireur au 54e Colonial d’Artillerie, tué le 2 octobre 1914, près de Péronne.

91 - Bernardin MÉCHIN, de Lyon, caporal au 22e régiment d’Infanterie, tué le 12 mai 1916, à Fleury, devant Douaumont.

92 - Julien MONTGOLFIER, de Tournon.

93 - Charles MOREL, de Saint-Chamond, chevalier de la Légion d’honneur, lieutenant au 22e Colonial.

94 - Alexandre MOURIER, sous-lieutenant au 156e d’Infanterie, tué le 2 juillet 1916.

95 - Auguste NEYRAND, de Saint-Chamond, sergent au 159e d’Infanterie, tué le 9 mai 1915, devant Souchez.

96 - François NEYRAND de Saint-Chamond.

97 - Joseph NEYRON, de Saint-Chamond, sergent au 230e d’Infanterie, tué le 22 septembre 1914, à Fonteny-sur-Aisne.

98 - Henri NOYE, sergent observateur au 38e d’Infanterie.

99 - Louis NOYE, de Saint-Étienne, sergent au 38e d’Infanterie, tué le 25 août 1914, à Baccarat.

100 - Pierre PATISSIER, brigadier-infirmier au 45e d’Artillerie, aumônier régimentaire, décoré de la Croix de guerre et de la Croix de Saint-Georges, trois cité à l’ordre du jour, tué le 14 septembre 1917.

101 - Pierre FAUCHON, du Puy, au 3e Zouaves, tué le 1er mars 1915, à Sillery.

102 - Gustave PERDU, de Roanne, capitaine des Chasseurs alpins.

103 - Georges PETIT, sergent au 8e d’Infanterie Coloniale, mort le 7 juillet 1916, à l’hôpital militaire de Marseille.

104 - Louis POMÉON, de Saint-Chamond.

105 - Henri PRÉNAT, brigadier aux Chasseurs d’Afriqu, tué en Albanie.

106 - Antoine PRORIOL, sergent au 162e d’Infanterie, tué à Verdun, le 23 septembre 1917.

107 - Nérée RADISSON, de Lyon.

108 - Victor RADISSON, de Lyon.

109 - Pierre RIGAUD, de Rive-de-Gier, au 57e Chasseurs, tué le 30 juin 1915.

110 - Louis RIGOT, de Lyon, caporal au 5e Chasseurs alpins.

111 - Paul ROCHE, de Roanne, capitaine au 12e Chasseurs alpins, tué le 8 mars 1915.

112 - Jacques ROPERT, de Saint-Étienne, sergent au 38e d’Infanterie.

113 - Pierre ROUSSE, de Montbrison, au 17e d’Infanterie.

114 - Louis ROYET, de Saint-Martial (Ardèche).

115 - Pierre SATIN, de Saint-Chamond.

116 - Paul TEYSSOT, de Saint-Étienne.

117 - Joseph THIBAUDIER, de Rive-de-Gier, aspirant au 11 bataillon de Chasseurs alpins.

118 - Félix VALLAS, de Roanne.

119 - Joseph VERGNETTE, de Saint-Étienne, sous-lieutenant au 16e d’Infanterie, tué le 18 décembre 1914, au bois de Cany.

120 - Mathieu VEILLON, de Saint-Chamond, au 229 e d’Infanterie tué le 18 décembre 1914, à Gerbéviller.

121 - Bertand de VERNEUIL, de Tournus, sous-officier au 408e d’Infanterie, tué le 8 mars 1916, au fort de Vaux.

122 - Jean VIORNERY, de Maclas (Loire).

123 - Pierre VILLET, de Saint-Jean-de-Maurienne, sous-lieutenant au 13e bataillon de Chasseurs alpins, tué le 21 avril 1916.

124 - Ernest VITOU, aspirant aux Chasseurs alpins, tué le 3 juin 1917.

125 - Paul VITOU, caporal au 67e d’Infanterie, tué le 2 août 1916, près de Verdun.

 

liste supplémentaire

 

126 - Charles HELLY d’ANGELIN, de Valence, 4e Chasseurs d’Afrique, décédé à Salonique.

127 - Stéphane BALAS, de Lyon.

128 - Léo BARRAL, de Crest.

129 - Louis BARTHEZ, de Carcassonne, 80e d’Infanterie.

130 - Jacques BEAUREGARD, de Charentay.

131 - Jacques BOUVET, de Saint-Jean-de-Bournay.

132 - Étienne CHILLET, au 189e d’Artillerie lourde (1918).

133 - Paul EYMARD, de Lyon, au 401e d’Infanterie (1918).

134 - Léon GUILLAUMOND, de Montfaucon (1918).

135 - Paul HYVERNAT, de Rive-de-Gier (1918).

136 - Michel LEBLANC, de Limoges.

137 - Marc LERICHE, de Roanne, sergent au 359e d’Infanterie (1918).

138 - Xavier MARTIN, de Saint-Étienne (1917).

139 - François MONIER, de Saint-Chamond, au 84e d’Artillerie lourde.

140 - Louis MOULIN, de Saint-Chamond, au 75e d’Infanterie (1914).

141 - Abel PRENAT, de Saint-Chamond, aux Dardanelles.

142 - Joseph COFFY.

143 - François DESVEAUX.

 

Michel Renard
professeur d'histoire

 

 

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19 novembre 2018

il y aura un marché de Noël place Saint-Pierre

19 nov 2018, sapin (10)

 

 

il y aura un marché de Noël

place Saint-Pierre

 

Ce lundi 19 novembre 2018, mise en place du sapin sur l'emplacement de ce qui sera un marché de Noël place Saint-Pierre.

 

19 nov 2018, sapin (1)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (2)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (3)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (4)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (5)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (6)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (7)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (8)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (9)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (10)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (11)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures et quelques

 

19 nov 2018, sapin (12)
lundi 19 novembre 2018, vers 11 heures

 

 

 

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28 juillet 2019

rue Ardaillon

rue Ardaillon, 28 juillet 2019

 

 

rue Ardaillon

 

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019 (1)
vue de la rue Ardaillon, 28 juillet 2019 : cheminée de l'ancienne usine Manutex ?

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019 (2)
vue de la rue Ardaillon, 28 juillet 2019 : cheminée de l'ancienne usine Manutex ?

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019, enceinte propriété Ardaillon (1)
rue Ardaillon, 28 juillet 2019, enceinte propriété Ardaillon qui ouvre sur la rue des Palermes

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019, enceinte propriété Ardaillon (2)
rue Ardaillon, 28 juillet 2019, enceinte propriété Ardaillon qui ouvre sur la rue des Palermes

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019
rue Ardaillon, 28 juillet 2019 ; à gauche, la propriété Ardaillon

 

rue Ardaillon, 28 juillet 2019, vue prise du haut
rue Ardaillon, 28 juillet 2019 ; vue prise du haut de la rue

 

rue Ardaillon, sur plan
la rue Ardaillon : un passage entre la rue de la Réclusière et la route de Lyon

 

 

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8 mars 2023

la Résistance à Saint-Chamond : liste des articles

plaque 20 janvier 1944, sabotage laminoir,16 juillet 2019, 10 h 22 (1)

 

 

la  Résistance à Saint-Chamond

liste des articles

 

  • La plaque commémorative au n° 2 de la rue William-Neyrand [lire]
  • Le monument rappelant le 20 janvier 1944, sabotage du laminoir [lire]
  • Famile Maurin, résistants, déportés en 1944 [lire]
  • Paul Fuvel (1914-2000), résistant [lire]
  • Liste des 35 résistants-déportés arrêtés à Saint-Chamond en 1943-1944 [lire]
  • Maurice Bonnevialle (1913-1944), résistant, fusillé [lire]
  • la Résistance à Saint-Chamond, article de 2012 [lire]
  • Souvenirs de la Résistance dans les rues de Saint-Chamond [lire]
  • Demande d'internement de Mme Launay, communiste (1941) [lire]
  • Reconnaissez-vous ces résistants ? (ancienne caserne Ruillière à Saint-Étienne) [lire]

 

 

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15 décembre 2019

promenade derrière Fonsala... et un peu ailleurs

bd de la Grande Terre, 15 déc 2019, 14 h 17
 

 

promenade derrière Fonsala

et un peu ailleurs...

 

Ballade de début d'après-midi ce dimanche 15 décembre : départ de la place Saint-Pierre, descente de la route de Lyon jusqu'à Super U, puis montée sur le boulevard de Fonsala, boulevard de la Grande Terre, boulevard des Écharneaux (qui passe devant le centre Pablo).

Ensuite, on emprunte la longue rue du Général de Gaulle, et ses quartiers pavillonnaires, jusque derrière le lycée ; descente sur la jonction des boulevards Pierre Joannon et Georges Clemenceau, passage sous le chemin de fer... et on se retrouve à l'extrémité de Novaciéries qu'il faut remonter jusqu'à la rue de Saint-Étienne.

Au passage, j'ai regardé le programme du cinéma.... eh bien je regrette parfois d'avoir quitté Paris... je serais allé au Louvre ou sur les quais des bouquinistes

 

bd de la Grande Terre, 15 déc 2019, 14 h 16
boulevard de la Grande Terre (derrière Fonsala), 15 décembre 2019, 14 h 16

 

bd de la Grande Terre, 15 déc 2019, 14 h 16 (2)
boulevard de la Grande Terre (derrière Fonsala), 15 décembre 2019, 14 h 16

 

bd de la Grande Terre, 15 déc 2019, 14 h 17
boulevard de la Grande Terre (derrière Fonsala), 15 décembre 2019, 14 h 17

 

bd Général de Gaulle, 15 déc 2019, 14 h 34
rue du Génétal de Gaulle (à hautur de la rue Paul Gauguin), 15 décembre 2019, 14 h 34

 

 

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24 septembre 2019

plaque commémorative Joseph Galland

plaque Résistance, 61 rue de la République (3), 24 sept 2019

 

 

plaque commémorative Joseph Galland

 

 

Joseph Galland a été arrêté le 10 mai 1944 dans cette maison du 61 rue de la République. Il a été déporté et est mort à Oranienbourg le 6 avril 1945.

 

plaque Résistance, 61 rue de la République (1)
au n° 61 de la rue de la République, à Saint-Chamond

 

plaque Résistance, 61 rue de la République (2)
au n° 61 de la rue de la République, à Saint-Chamond

 

 

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4 février 2024

Quel avenir pour la vraie droite à Saint-Chamond ? Qui va emporter la Mairie en 2026 ?

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 Relevons la France, relevons Saint-Chamond

 

 

Quel avenir pour la vraie droite

à Saint-Chamond ?

Qui va emporter la Mairie en 2026 ?

Michel RENARD

 

 Pourquoi cette formule de «vraie» droite ? Quelle est la «vraie» droite aujourd’hui ? Il a toujours existé plusieurs droites en France depuis deux siècles.

Il a même existé des gauches dont la Gauche actuelle qualifie les positions de l’époque d’extrême droite.

  1. À l’image du député socialiste (SFIO) Roger Salengro qui en août 1931 propose une loi de «protection de la main d’œuvre nationale» - la fameuse «préférence nationale» - ou du ministre socialiste de l’Intérieur du gouvernent de Léon Blum, Marx Dormoy, qui en 1937 écrit aux préfets :
  2. «Il est vraisemblable que nous aurons affaire, non seulement à une masse mouvante plus ou moins indésirable de sans-travail et d'émigrants, en quête d'un pays susceptible de les accueillir en leur procurant des moyens d'existence, mais encore à des individus franchement douteux, à la moralité suspecte. Il conviendra donc de refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s'introduire sans passeport ou titre de voyage valable.».
  3. Et le 2 juillet 1937, encore, Marx Dormoy récidive en exigeant une politique répressive à l’égard des «mouvements d’immigration clandestine» (sans visas).
  4. Ainsi la gauche socialiste de 1937 est taxée par nos belles âmes de 2024 - même si elle ne dit pas ouvertement comptant sur l’ignorance historique - d’extrême-droite, de raciste, d’antirépublicaine... Étrange, non ?

 

La «vraie» Droite en 1990

 Eh bien, il en va de même à droite. Je m’en tiendrai aux toutes dernières décennies, avec la balise de 1990 et la convention de l’opposition sur l’immigration (à cette date, c’est la Gauche qui gouvernait avec Mitterrand et Rocard).
Cette réunion dominée par le RPR de Jacques Chirac mais également soutenue par la droite centriste de Giscard d’Estaing, adopta des positions très sévères sur les questions migratoires en France :

- fermeture et contrôle des frontières extérieures ;

- la France ne peut plus être un pays d’immigration ;

- la France n’est plus en mesure d’accueillir de nouveaux immigrants ;

- lutter contre l’immigration clandestine ;

- renoncer à l’automaticité du regroupement familial ;

- lutter contre les fraudes à notre système de protection sociale.

 Il en fut de même à propos de l’islam en France même si des illusions se manifestèrent («L'islam pose effectivement des problèmes de fond. Une interprétation des textes permet cependant de surmonter l'incompatibilité»... ah bon ?) :

- les lois de notre République sont incompatibles avec certaines règles de l’islam ;

- la Charia telle qu'elle est aujourd'hui défendue par les musulmans à l'étranger est contraire à nos lois ;

- l'islam n'apparaît pas conforme à nos fondements sociaux et semble incompatible avec le droit français. Par exemple la polygamie et le statut réservé à la Femme qui porte atteinte au principe d'égalité inscrit dans notre Constitution.

 Voilà ce que disait la «VRAIE» droite en 1990. Nous savons qu’elle a renoncé à tout son programme... par dogmatisme européiste, par opportunisme électoral, par lâcheté politique.

Tous ces thèmes sont de nos jours classés systématiquement d’extrême-droite. Mais celle-ci existe-t-elle vraiment ? Je ne le conçois pas.

 

Pas d’extrême-droite électorale en France

 Il n'y a pas d'extrême-droite aux élections en France. Il n'y a que des droites différentes :

1) une Droite centriste, pratiquant le clientélisme avec les musulmans en Île-de-France et ailleurs, et dont je doute qu'elle soit plus régalienne que Macron : Pécresse. Une droite macron-compatible, on l’a vu avec la nomination ministérielle de Rachida Dati.

2) une Droite populiste (le mot n'est pas péjoratif dans mon esprit) dont les positions se rapprochent parfoisde la droite européiste et immigrationniste (cela dépend des moments) : Marine Le Pen et Jordan Bardella.

3) une Droite civilisationnelle ("d'épopée" dit le politologue Jean-Yves Camus) d'inspiration gaullo-bonapartiste (on peut discuter le dernier adjectif...) qui refuse la fragmentation de la France et exalte le vrai patriotisme de la nation contre le mondialisme, l’islamisation et l'européisme : Éric Zemmour et Marion Maréchal.

 

Quelle droite à Saint-Chamond ?

 Alors quelle est la «vraie» droite à Saint-Chamond ? A priori, ce serait la majorité LR qui gouverne la ville. Mais, l’ancien maire Hervé Reynaud passait déjà des compromissions avec la mosquée islamiste Millî Görüs (turque).
Le nouveau maire Axel Dugua, s’est cru obligé, le 10 janvier 2024, d’un communiqué de félicitations à Gabriel Attal, nouveau Premier ministre, apparemment par complicité générationnelle.
Mais qu’est-ce qu’il l’empêchera de glisser jusqu’à la macro-compatibilité pour un siège de député ou plus encore ?

 De plus cette majorité municipale est fracturée depuis l’imposition d’Axel Dugua comme successeur d’Hervé Reynaud, maire alors en place avant de devenir sénateur. Une courte majorité s’est prononcée (à la suite de quelles pressions et promesses de doublement d’indemnités ?) pour Axel Dugua contre Jean-Luc Degraix qui avait l’expérience et le savoir pour lui.

Dans quelles coteries de la Droite risquent de verser ces deux camps municipaux si la faille s’agrandissait ?

Je ne songe pas qu’ils se dirigeraient vers autre chose que Macron, LR ou l’un de ses ersatz.

 

La «vraie» Droite couramiaude

 Reste donc la «vraie» droite, inscrite dans une fidélité au programme de Villepinte de 1990. À Saint-Chamond, il s’agit d’Isabelle Surply et de son groupe. Quelles sont ses chances électorales ? Difficiles de les évaluer avant les Européennes de juin 2024 et de ce qui peut se passer d’ici le printemps 2026.

On peut au moins examiner les résultats électoraux qui se sont portés vers ce camp (FN, RN, Reconquête !) depuis une dizaine d’années.

 En rappelant que le nombre d’inscrits à Saint-Chamond est de 23 292, en 2022.

 

Une décennie de résultats pour la «vraie» Droite

• Législatives de 2022

1er tour : Angelina La Marca (RN) : 1 430 voix (16 %), 3e place

               Isabelle Surply : 584 voix (6,5 %), 4e place

• Présidentielles de 2022

1er tour : Marine Le Pen : 3 755 voix (24,2 %)

               Zemmour : 1 194 voix (7,7 %)

2e tour : Marine Le Pen : 5 755 voix (42,3 %)

 Départementales de 2021

1er tour : Isabelle Surply et Raphaël Baccaglioni : 1 071 voix (20,6 %), 2e place

2e tour : Isabelle Surply et Raphaël Baccaglioni : 1 130 voix (22,17 %)

 Régionales de 2021

1er tour : Andréa Kotarac : 811 voix (15,6 %), 2e place

2e tour : Andréa Kotarac : 906 voix (16,3 %), 3e place

• Municipales de 2020

1er tour : Isabelle Surply : 926 voix (13 %), Covid, 3e place

 

 Européennes de 2019

Un seul tour : Jordan Bardella : 2 362 voix (25,6 %), 1ère place

• Législatives de 2017

1er tour : Isabelle Surply (FN) : 1 489 voix (16,04 %), 3e place

 Présidentielles de 2017

1er tour : Marine Le Pen : 3 969 voix (24,4 %), 1ère place

2e tour : Marine Le Pen : 5 053 voix (35,2 %)

• Départementales de 2015

1er tour : Franck Descours et Valérie Félix : 3 643 voix (28,8 %), 2e place

2e tour : Franck Descours et Valérie Félix : 2 991 voix (33,1 %)

 

 Régionales de 2015

1er tour : Christophe Boudot : 2 856 voix (30,7 %), 1ère place

2e tour : Christophe Boudot : 3 073 voix (26,3 %), 3e place

• Européennes de 2014

Un seul tour :  FN : 2 367 (30,1 %), 1ère place

• Municipales de 2014

1er tour : Franck Descours : 2 002 voix (15,7 %)

2e tour : Franck Descours : 1 775 voix (12,5 %)

• Présidentielles de 2012

1er tour : Marine Le Pen : 4 215 voix (23,5 %), 2e place

 

Quelles évaluations tirer de ces résultats ?

À mon humble avis, le vote pour ce que les politologues appellent «l’extrême-droite», et moi la «vraie» Droite, n’est pas prioritairement dictée par la personnalité qui représente la liste en jeu (FN, RN...).

Difficile également de distinguer ce qui relève du vote de rejet du «système» et de la misère, et du vote d’approbation d'un programme.

 Le cas d’Isabelle Surply est relativement atypique, pour deux raisons, parce qu’elle est désormais nationalement connue, notamment sur les réseaux sociaux et dans la presse nationale, et également présente localement par son inlassable activité municipale comme aucun opposant avant elle n’avait su le faire (scandales des factures pour les vœux municipaux en 2023, questions précises en conseil municipal, insécurité, pauvreté, priorité des investissements, aide aux habitants...).

Les résultats affichés ci-dessus démontrent un différentiel entre le vote Marine Le Pen (plus de 5 000 voix en 2017, plus de 5 700 voix en 2022) et les scores des personnalités qui peuvent lui être attachées comme Isabelle Surply aux municipales de 2020 (il est vrai dans la situation dissuasive du Covid). Il s'agit donc d'un réservoir électoral énorme.

En 2026, la candidate législative RN de 2022 (Angelina La Marca) ne sera pas présente n’habitant pas sur Saint-Chamond, en tout cas pour l’instant, et le RN peinant à trouver un candidat sur la ville (informations personnelles).

Quel bilan et quelle atmosphère va laisser Axel Dugua, quels paramètres nationaux peuvent-ils entrer en jeu ?

Sous quelles personnalités l’actuelle majorité, unique ou divisée, va-t-elle se présenter ?

Point capital, la stratégie d'Éric Zemmour consistant à proclamer "l'union des droites" pourra difficilement s'appliquer à Saint-Chamond compte tenu de la confrontration menée depuis des mois par Isabelle Surply contre la droite LR au pouvoir.

Isabelle Surply et sa Droite couramiaude parviendra-t-elle à joindre les deux ramifications de sa notoriété nationale et locale ? Disposera-t-elles des forces locales pour y parvenir ?


Michel Renard
professeur d'histoire

 

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8 février 2024

François MORANGE et les trois principales églises de Saint-Chamond

François Morange

 

François MORANGE

et les trois principales églises

de Saint-Chamond

 

 

François Morange est conseiller municipal délégué au patrimoine historique et industriel et aux archives.

Il a une très belle formule pour désigner les trois principaux édifices relgieux de la ville : "Notre Dame est le phare de la ville, Saint-Pierre est son bijou et Saint-Ennemond est son trésor".

Je trouve cela assez bien tourné. Merci François Morange.

  

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église Notre-Dame, au début du XXe siècle

 

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église Saint-Pierre, intérieur actuel

 

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église Saint-Ennemond, porche d'entrée

 

Michel Renard
professeur d'histoire

 

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12 février 2024

plantations d'hiver au Jardin public

plantation Jardin public 12 fév 2024 11h11

 

plantations d'hiver au Jardin public

 

  • ce matin, on plante des pensées et des bulbes de tulipe dans le Jardin public.
    Je questionne la jardinière qui m'assure que même si le grand froid revient, ces plantations résisteront.
    Travail appliqué, je l'ai félicitée.
    Ce lundi 12 février 2024, à 11 h 11 (précisément 😉)

 

plantation Jardin public 12 fév 2024 11h11

 

Michel Renard

 

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20 juin 2021

élections départementales et régionales du 20 juin 2021

élections 20 juin 2021 (1)

 

 

élections départementales et régionales

du 20 juin 2021

 

élections 20 juin 2021 (1)
l'Hôtel-Dieu qui accueille les bureaux n° 7 et 8 de Saint-Chamond

 

élections 20 juin 2021 (2)
bureau n° 7 : au fond, la machine à voter et le président du bureau ; au centre l'accueil la vification de l'identité
des électeurs ; à droite, les deux guichets de signature des registres

 

élections 20 juin 2021 (3)
l'écran de la machine à voter, partagé en deux : en haux les listes pour les départementales,
en bas les listes aux régionales

 

élections 20 juin 2021 (4)
les cinq scrutateurs du bureau n° 7 ; et le joli sourire d'une scrutatrice...

 

élections 20 juin 2021 (5)

 

 

 

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14 juin 2009

le Sillon de Marc Sangnier à Saint-Chamond

Le Sillon colleurs d'affiches



Le Sillon de Marc Sangnier

à Saint-Chamond

 

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Le journal L'Eveil démocratique, bi-mensuel en
octobre 1905, devient hebdomadaire en octobre 1906
(c'est l'éditeur de la carte postale qui est de Saint-Chamond)

 

Dans la Loire, l'implantation de la "Jeune République" est antérieure à la guerre de 1914-1918. Un cercle existe alors dans la vallée du Gier, animé par La Sablière. En 1920, un congrès départemental est présidé à Saint-Chamond par Marc Sangnier en personne puis la "Jeune République" se répand dans tout le département : Saint-Etienne, l'Ondaine, le Pilat, la plaine, les Monts du Lyonnais et du Forez...

source : Forez-Info

 

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"les Camelots du bon Dieu", carte postale éditée par J. Gonin de Saint-Chamond


Le_Sillon_colleurs_d_affiches
Le Sillon, revue d'action démocratique,
carte postale éditée par le saint-chamonais J. Gonin

 

Le Sillon colleurs d'affiches

 

_________________________________________________


 

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qui était Marc Sangnier (1873-1950) ?

Paris, 3 avril 1873 - 28 mai 1950        

Marc Sangnier a consacré sa vie et ses talents d'orateur et de journaliste à l'idée d'une démocratie fondée sur les forces morales et spirituelles de la foi chrétienne. Né dans une famille très pieuse de la grande bourgeoisie, il fait ses études à Paris, au collège Stanislas, tenu par les Marianistes, ouverts aux idées du catholicisme social prônées par le pape Léon XIII.

Déjà, il cherche à éveiller ses camarades à leurs devoirs  civiques et sociaux et collabore à la revue Le Sillon, fondée en 1894 par son ami Paul Renaudin. En 1899, Le Sillon se transforme en mouvement. Au sortir de l'École polytechnique, Sangnier renonce  une carrière d'officier pour en prendre la direction.          

Cherchant à réconcilier le catholicisme avec le régime républicain, Le Sillon s'est fixé pour but de "travailler à développer les forces sociales du catholicisme dans la société contemporaine". "Les beaux temps du Sillon" se consacrent à l'éducation populaire ; "le plus grand Sillon" s'ouvre aussi à tous ceux qui croient aux valeurs spirituelles et humaines.

Entre 1899 et 1910, à une époque où les idées dominantes de la Troisième République sont mises en cause, où s'installe un climat de religiosité et où émergent des préoccupations sociales, Le Sillon va marquer son influence sur de larges franges de la population française.

Marc_Sangnier___son_bureau

Mais son orientation démocratique, dans un milieu encore très choqué par l'expulsion des congrégations et la loi de séparation des Églises et de l'État (1905), son indépendance aussi vis à vis de la hiérarchie ecclésiastique, finissent par inquiéter. Le 25 août 1910, le pape Pie X condamne le mouvement dans une lettre aux évêques de France : Sangnier se soumet et dissout Le Sillon.

Il se lance alors dans l'action politique, fonde un journal, La Démocratie et, en 1912, un parti, la "Ligue de la Jeune République". Pendant la guerre de 1914-1918, il est chargé par Briand d'une mission en faveur de la paix auprès du pape. Député de Paris de 1919 à 1924, il se consacre entre les deux guerres à l'action pacifiste et organise de grands congrès démocratiques internationaux.

En 1929, à l'instar de Richard Schirmann en Allemagne, il introduit en France les Auberges de Jeunesse pour rapprocher les jeunes de tous les pays. À partir de 1932, il prend un certain recul avec l'action politique et fonde l'hebdomadaire L'Éveil des peuples et le Foyer de la Paix à Bierville (Seine-et-Oise), où il possédait une propriété.

Après la guerre, pendant laquelle il est arrêté, en 1944, par la Gestapo, son influence perdure : élu de nouveau député de Paris, il devient, à sa fondation, le président d'honneur du M.R.P.

Odile Gaultier-Voituriez
archiviste de la Fondation nationale des sciences politiques,
membre du conseil scientifique de l'Institu
t
- source


espritdemocratiquepagetitre

 

 

la vision de la démocratie chez Marc Sangnier

Faut-il le rappeler : Le Sillon (1) est d'abord une revue née en 1894. Au sein de cette publication d'élèves du collège Stanislas, Marc Sangnier issu de la grande bourgeoisie, bientôt polytechnicien, joue un rôle croissant. Il prend en 1898 la direction du Sillon qui devient un mouvement de jeunesse, de formation religieuse et sociale, et prend son essor à Paris et en province.

À partir de 1899, le Sillon se tourne vers l'action  démocratique et se place sur le terrain civique. Son écho s'accroît : 75 adhérents au premier congrès de 1902, 1 000 en 1904, 2 194 en 1909. À partir de février 1907, "le plus grand Sillon" veut rassembler 'toutes les forces qu'anime consciemment ou non l'esprit Chrétien", affirmant une perspective non confessionnelle. Le journal L'Éveil démocratique, bi-mensuel en octobre 1905, devient hebdomadaire en octobre 1906. Le Sillon s'oriente désormais vers l'action politique, Marc Sangnier est candidat aux élections législatives, à une élection partielle en 1909, puis aux élections générales en 1910.

Le Sillon, dès son début, se situe sans hésitation sur le terrain républicain. Ses militants n'ont pas, comme d'autres catholiques français, à se "rallier" conformément aux instructions du pape Léon XIII. Ils acceptent le régime, sinon le détail des institutions. Ils adhèrent aussi aux valeurs patriotiques qu'incarne la République.

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le pape Léon XIII (1878-1903)

Mais quelle est leur vision de la démocratie, une des originalités majeures du Sillon ? Faut-il rappeler qu'à partir de 1905, la revue Le Sillon porte en sous-titre "revue d'action démocratique", et non plus "revue d'action sociale catholique". L'adjectif "démocratique" est porteur d'un sens fort et renvoie à la définition de la démocratie si souvent donnée par Sangnier à ses amis. "La démocratie est l'organisation sociale qui tend à porter au maximum la conscience et la responsabilité civique de chacun" (2) La démocratie est une organisation sociale, ainsi la définition n'est-elle pas d'abord politique et juridique. "Nous voulons, dit encore Sangnier, une démocratie organique, non une démagogie anarchiste. Nous ne sommes pas des individualistes" (3).

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Cette démocratie organiciste n'est pas collection d'individus, elle est faite de corps et de communautés. Le Sillon, comme le catholicisme social, reprend quelque chose de la critique traditionaliste d'une démocratie individualiste, mais les individus ne doivent pas être écrasés par l'organisation sociale. Au contraire celle-ci a pour fin première l'épanouissement de "la conscience et de la responsabilité civique de chacun". Si le Sillon récuse l'individualisme, il affirme le rôle essentiel de la personne. Ce sont les valeurs de la conscience et de la responsabilité qui sont au cœur de la société démocratique.

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Sangnier (1873-1950)

Sangnier ne confond pas la démocratie avec l'anarchie ou la démagogie. Il ne considère pas que la démocratie consiste "à supprimer l'autorité et à la remplacer par la stupide tyrannie des aveugles majorités ; nous croyons au contraire fortifier le principe même d'autorité en élevant à la pleine dignité civique un nombre chaque jour grandissant de sujets" (4). L'effort démocratique consiste "à rendre participante" de la fonction de l'État "une élite chaque jour plus large et ouverte".

La démocratie n'est pas l'égalitarisme et réclame la naissance d'une élite. Forger cette élite démocratique invite à un œuvre d'éducation qui est au cœur du projet sillonniste. La démocratie a besoin de l'apport de l'éducation, elle a besoin aussi de l'apport moral du christianisme. Comme Tocqueville, Sangnier estime que le christianisme "en subordonnant l'intérêt particulier à l'intérêt général rend la démocratie possible".

Ces quelques observations fondées sur les textes de Sangnier repris dans L'Esprit démocratique suffisent à suggérer que la conception de la démocratie politique par le Sillon est différente de la démocratie chère à "l'idée républicaine" (5). Surtout, alors que pour les hommes politiques républicains, de Gambetta à Clemenceau, le politique est premier, préalable aux réformes sociales éventuelles, le Sillon est d'abord tourné vers le social. La construction d'une démocratie sociale est l'exigence première.

Jean-Marie Mayeur, extrait de "introduction" à
Le Sillon de Marc Sangnier et la démocratie sociale.
Actes du colloque des 18 et 19 mars 2004, Besançon,
éd. PU de Franche-Comté, 2006, p. 7-9.

(1) Renvoyons au livre de référence de Jeanne Caron, Le Sillon et la démocratie chrétienne, Plon, 1966, et regrettons que cette thèse n'ait pas été rééditée.
(2) Marc Sangnier, L'Esprit démocratique, p. 167.
(3) Ibid., 26 février 1905, p. 172.
(4) Ibid., p. 174.
(5) On fait allusion au livre classique de Claude Nicolet, Gallimard, 1982.

 

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17 septembre 2010

qui était Ennemond Richard ?

Ennemond RIchard

 

 

Ennemond Richard

1806-1873

 

Urgent

Je recherche désespérément qui est Ennemond Richard qui a donné son nom au collège ! Merci d'avance !!

Posté par Guio Séverine, mercredi 8 septembre 2010 à 14:25



Réponse

Ennemond Richard (1806-1873), natif de Saint-Chamond, hérita de son père, industriel, l'entreprise de fabrique du lacet (Saint-Chamond et Annonay). Il est aussi connu comme l'auteur des Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, ouvrage paru en 1846 et réédité en 1986 par les Amis du Vieux Saint-Chamond.

Son père, ancien officier d'infanterie lors de la campagne d'Italie (Bonaparte), s'installa à Saint-Chamond, travailla comme moulinier puis entreprit la fabrique du lacet à partir de 1807.

Personnalité locale reconnue, il fut nommé maire de la commune d'Izieux en 1827. En 1839, il céda ses usines à ses trois fils, dont Ennemond.
Ce dernier fut membre influent de la Chambre de Commerce de Saint-Étienne, de 1848 à 1871. En 1868, il était commissaire général du Comice, nommé par la Société impériale d'agriculture.

Michel Renard

 

 

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17 juillet 2006

Melchior Mitte de Chevrières

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Melchior Mitte de Chevrières



- armes du seigneur Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond au XVIIe siècle (époque d'Henri IV, et surtout de Louis XIII puis de la régence de Marie de Médicis) :

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Melchior Mitte (1586-1649)
      Comte de Miolans, Marquis de Saint-Chamond, Seigneur de Chevrières
      Chevalier du Saint-Esprit (reçu le 31 décembre 1619)



L'ordre du Saint-Esprit fut fondé par le roi Henri III en 1578. Il constituait l'ordre nobiliaire le plus élevé :

- "Son nom était du à la dévotion qu’avait le roi pour la Pentecôte, journée commémorant la descente du henri3franceSaint-Esprit sur les apôtres. Ce jour de Pentecôte avait marqué deux événements particulièrement importants pour Henri III [ci-contre] : sa désignation à la tête du royaume de Pologne avait eue lieu le 11 mai 1573 et son accession au trône de France le 30 mai 1574.
Officiellement, c’est la défense de la foi catholique et de la personne royale qui fut invoquée en créant l’Ordre du Saint-Esprit. Mais le roi avait sans doute pour dessein premier de provoquer le rattachement à sa cause de grands seigneurs catholiques dont la fidélité à sa personne paraissait fort équivoque, certains n’ayant pas hésité à s’allier avec la Ligue dirigée par le puissant duc Henri de Guise.
Par ailleurs, le besoin d’un Ordre nouveau devait probablement s’imposer, car force était de constater le déclin de l’Ordre de Saint-Michel, jusqu’alors unique Ordre de chevalerie du royaume."

http://www.france-phaleristique.com/stesprit.htm

- source du blason


 

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Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649)


____________________________________________________

 

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tableau flamand d'Abel Grimmer (fin XVIe siècle) : Avril (extrait)
chapelle Notre-Dame de Montfaucon-en-Velay (Haute-Loire)

 

 

Collection  de 12 tableaux flamands à Montfaucon en Velay,

provenant de Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond

              

D'où vient cette collection et comment est elle arrivée à Montfaucon ?

Les tableaux d'Abel Grimmer auraient été la propriété de l'archiduc Ernest en 1595. En 1631, le marquis Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de St Chamond dans la Loire, est chargé de l'ambassade à Bruxelles. Au cours de ce mandat, il achète ou reçoit une collection de douze tableaux flamands signés et datés en bas à gauche : "Grimmer Fecit 1592". Il expose cette collection dans une galerie de son château à St Chamond. Par la suite, les tableaux sont transférés à l'église Notre-Dame de Saint-Chamond. Heureusement, car le château est saccagé en 1792 par des soldats venus de Haute-Loire.
Le curé Paul François Régis Jamon, prêtre Jésuite rejoint le club des Jacobins, sous la révolution. En 1793, l'instruction de la commission temporaire de Lyon déclare l'éradication du christianisme. Suite à cette proclamation, il abandonne la prêtrise et vient s'installer à Montfaucon en emmenant les douze flamands. On raconte qu'il a peint les cadres des tableaux en bleu, blanc, rouge. Il a gravé les nouveaux noms des mois pour donner un air plus révolutionnaire à l'ensemble de l'œuvre et ainsi il les a sauvés de la destruction. Après son arrivée à Montfaucon, le curé Jamon prend son bâton de pèlerin et se rend au Puy en Velay pour rencontrer l'évêque. Il lui demande pardon pour les fautes qu’il a comises. Il reçoit  l'absolution mais n'a plus le droit de célébrer la messe. De retour à Montfaucon, il offre à la chapelle la collection des douze tableaux flamands pour se faire pardonner de la population montfauconnaise.

 

janv
tableau flamand d'Abel Grimmer (fin XVIe siècle) : Janvier, la neige
chapelle Notre-Dame de Montfaucon-en-Velay (Haute-Loire),
rapporté de Bruxelles par Melchior Mitte de Chevrières
et exposé dans son château puis dans l'église de Saint-Chamond en 1635

(source iconographique)

 

_______________

 

question : bonsoir monsieur, pourriez m'apporter des précisions sur le blason de Melchior Mitte de Chevrieres.il est représenté soit avec un aigle à 2 têtes (qui serait me sembles t il les armes du st empire romain germanique soit avec un aigle à une tête qui serai l'écuson de l'ancienne bourgogne..de plus la partie hachurées est représentée soit rouge et jaune (pour les armes de Miolans si je ne trompe pas) soit rouge et blanc.
je vous remercie pour vos précisions, Veuillez agréer mes respectueuses salutations.

 

réponse

Monsieur, j'ai peur de vous décevoir. Je ne suis absolument pas compétent en matière de blason ou d'armoiries. J'ai du mal à trouver ce blason parmi les dizaines qui figurent dans les illustrations du livre james Condamin et qui ne sopnt pas légendées directement.

Dans l'ouvrage de Condamin (1890), on trouve ceci (p. 301) :

 

Melchior Mitte, portrait

 

Melchior Mitte, blason

 

Cette image n'est pas identique aux "armes" que j'ai publiées plus haut. Pourquoi ? Je n'en sais rien.

Par ailleurs, les "armoiries" qui sont présentées sur la page Wikipédia correspondent à l'image que j'ai placée au début de cet article.

Alors deux aigles ou un aigle à deux têtes ?

Michel Renard

 

 

 

 

14 août 2018

histoire de la vie religieuse à Saint-Chamond

abside église Saint-Pierre à Saint-Chamond

 

 

histoire de la vie religieuse

à Saint-Chamond

 

 

 

Carmel de la Rive vue du ciel
ancien Carmel de la Rive, à Saint-Chamond

 

église Notre-Dame fête Jeanne d'Arc
église Notre-Dame, fête Jeanne d'Arc

 

les Capucins carte légendée
les Capucins ; en légende sur-écrite : "entrée pensionnat St-Charles" ; "la croix de Beaujeu"

 

Notre-Dame de l'Hermitage préau du scolasticat
Notre-Dame-de-l'Hermitage (Izieux), préau du scolasticat

 

 

 

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28 janvier 2017

Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (5) - 1

 

 

Hôtel-Dieu de Saint-Chamond,

28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (1)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (2)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (3)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (4)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (5) - 1
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (6)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (7)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (8)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

Hôtel-Dieu 28 janvier 2017 (9)
Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, 28 janvier 2017

 

 

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6 février 2017

ce qu'on voyait de la place Saint-Pierre avant

Saint-Ennemond vu de la place Saint-Pierre 

 

 

ce qu'on voyait de la place Saint-Pierre

au début du XXe siècle

 

Une carte postale ancienne, datant du tout début des années 1900, a fixé la place Saint-Pierre et le paysage vu à partir d'elle. La photo a été prise en contre-plongée.

Elle présente un air de familiarité avec notre présent puisque l'essentiel de la disposition et du bâti a été préservé. En tout cas pour les maisons de la place Saint-Pierre. L'emplacementest alors indistinct, il n'y a pas voies aménagées pour la circulation. La place servait au marché aux bestiaux, il fallait qu'elle soit vaste. Seul le théâtre a disparu, en 1931, pour redonner son espace à la place de la Halle.

La vue sur la colline Saint-Ennemond met en évidence l'école de la Grand'Grange, anciennes écuries du château. Les modifications portées au fil des ans ont touché la chapelle et le fronton central. L'édifice religieux a été rabaissé ; le fronton a été démoli et la statue de la Vierge installée à l'angle du bâtiment.

Les vestiges de la Collégiale sont bien visibles. Mais l'école de l'Observatoire, construite en 1897, a été démolie en 1988.

 

place Saint-Pierre très colorisée
la place Saint-Pierre (place Nationale, à l'époque), vue prise en plongée, vers 1905

 

Saint-Ennemond vu de la place Saint-Pierre
la place Saint-Pierre (place Nationale, à l'époque), vue prise en plongée, vers 1905

 

Diapositive1
ce qu'on voyait de la place Saint-Pierre au tout début des années 1900 (© M.R.)

 

place Saint-Pierre 8 février 2017 (1)
vue sous le même angle, mais à partir du sol (8 février 2017)

 

Michel Renard

 

 

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19 février 2017

ancien square et école Lamartine

square (2)

 

 

ancien square et école Lamartine

à Saint-Chamond

 

 

l'ancien square, vu du côté de la rue de l'Hôtel-de-Ville

 

square (4)
le square, à l'emplacement de l'actuelle école Lamartine et de l'avenue Antoine Pinay (à droite)

 

Le square
le square, à l'emplacement de l'actuelle école Lamartine et de l'avenue Antoine Pinay (à droite)

 

square (2)
le square, à l'emplacement de l'actuelle école Lamartine et de l'avenue Antoine Pinay (à droite)

 

square (3)
le square : personnages

 

 

l'ancien square, vu du côté de l'avenue de la Gare  

 

square avenue Gare (1)
l'avenue de la Gare et, à droite, l'ancien square

 

Lamartine 23 fév 2017 (4)
jeudi 23 février 2017, vers 17 heures 

 

square avenue Gare (2)
l'avenue de la Gare et, à droite, l'ancien square

 

square avenue Gare (3)
l'avenue de la Gare et, à droite, l'ancien square

 

square avenue Gare (4)
à droite, l'ancien square

 

rue du Rivage
à droite, l'ancien square

 

 

1933, construction de l'école Lamartine

 

Lamartine (1)
école Lamartine, construite en 1933, à l'emplacement de l'ancien square

 

Lamartine (3)

 

Lamartine 23 fév 2017 (1)
jeudi 23 février 2017, vers 17 heures

 

Lamartine (7)

 

Lamartine (8)

 

Lamartine (5)

 

Lamartine (4)

 

Lamartine (6)

 

Lamartine (9)

 

 

de nos jours

 

Lamartine (2)
école Lamartine, entre l'avenue de la Libération et l'avenue Antoine Pinay (Google Street View, juillet 2008)

 

Lamartine 23 fév 2017 (2)
jeudi 23 février 2017, vers 17 heures

 

Lamartine 23 fév 2017 (3)
jeudi 23 février 2017, vers 17 heures

 

Lamartine 23 fév 2017 (5)
jeudi 23 février 2017, vers 17 heures

 

Michel Renard

 

 

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26 février 2017

le quartier de Croupisson

Croupisson cpa (3)

 

 

le quartier de Croupisson

à Saint-Chamond

 

 

Croupisson sur plan 1935 (2)
le quartier de Croupisson sur un plan de Saint-Chamond de 1935

 

Croupisson sur plan 1935
le quartier de Croupisson sur un plan de Saint-Chamond de 1935

 

Google Maps Croupisson
le plan actuel sur Google Maps, 2017

 

Google Maps Croupisson légendé
situation de l'ancien quartier de Croupisson sur Google Maps, 2017

 

Croupisson cpa
vue sur le quartier de Croupisson à Saint-Chamond

 

Croupisson cpa (2)
vue sur le quartier de Croupisson à Saint-Chamond

 

Croupisson cpa colorisée
le quartier de Croupisson, carte postale ancienne colorisée

 

Croupisson photo bar vers 1930
groupe à Croupisson, vers 1930 (photo communiquée par Mme Hélène Menu)

 

 

les métiers de la pierre à Croupisson

 

"À Saint-Chamond, les carrières sont situées juste derrière l'immense château, sur la colline de St Ennemond qui domine la vallée.

On en a une description très courte, datant de 1750, dans le cadre de la présentation de la mine de charbon dite du Parterre : " Cette mine est située sur la hauteur qui domine Saint-Chamond, derrière le château. Un chemin facile y conduit. Le premier objet qui se présente à la vue est une vaste carrière dont le front hors de terre peut avoir 80 pieds d'élévation. En bas, on perçoit l'entrée de la galerie par laquelle on descend dans la mine".

Nous n'en saurons pas plus : manifestement, elle est à ciel ouvert. On peut la voir encore, au milieu d'un lotissement de la rue, bien nommée, des Carrières qui débouche sur la route de Chavanne.

Très logiquement, les tailleurs de pierre se retrouvent sur cette même colline de Saint-Ennemond comme l'attestent les registres de cette paroisse. En 1670, Antoine Rivaud est installé rue Froide. En 1822, des tailleurs sont signalés rue des Portes. Le recensement de 1841 en compte 17, à Crupisson, 18 en 1852. La présence de sculptures anciennes prouve, également, l'existence de sculpteurs sur pierre.

Dans l'article sur l'Histoire de la vie quotidienne dans le Pays du Gier, nous parlons des puits aux décors multiples, malheureusement en très mauvais état. Le grès houiller est toujours présent ! D'autres sculptures évoquent les métiers, comme cette navette, datée de 1575, sur un mur de la maison Flachat ou encore des fuseaux, des roquets ou navettes gravées dans les dalles de l'église Saint Pierre.

Nous avons cité le quartier de Crupisson, ou Croupisson, selon les auteurs. Ce nom vient d'une famille, une véritable dynastie de tailleurs de pierre installés au pied du château, dès le début du XVIIe siècle. Selon F. Gonon, ils étaient propriétaires de la carrière de pierres."

source : site Arcoma

 

 

 

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23 février 2017

Saint-Martin-en-Coailleux

Saint-Martin août 2014 (2)
août 2014

 

 

Saint-Martin-en-Coailleux

 

 

photos anciennes de Saint-Martin-en-Coailleux

 le hameau de La Ravachollière

 

fenaison
Saint-Martin-ren-Coailleux, fenaison

 

Saint-Martin août 2014 (1)
Saint-Martin-ren-Coailleux, août 2014

 

place de la Valette enfants
Saint-Martin-ren-Coailleux, place de la Valette, avant 1914

 

Saint-Martin août 2013
Saint-Martin-en-Coailleux, août 2013

 

 

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10 mars 2017

la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond en 1920

Fête Jeanne d'Arc 1920 (9)

 

 

la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux

à Saint-Chamond en 1920

photos originales Gonon

 

 

La Jeanne d'Arc d'Izieux est une association sportive créée en 1908.

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (1)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ; la place Saint-Pierre

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (2)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ;
angle de la rue Victor-Hugo et de l'avenue de la Gare

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (10)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ;
angle de la rue Victor-Hugo et de l'avenue de la Gare

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (4)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ;
angle de la rue Victor-Hugo et de l'avenue de la Gare

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (5)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ;
angle de la rue Victor-Hugo et de l'avenue de la Gare

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (8) 
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ;
angle de la rue Victor-Hugo et de l'avenue de la Gare

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (3)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ; rue de la République

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (6)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ; rue de la République

 

Fête Jeanne d'Arc 1920 (7)
cortège de la Fête de la Jeanne d'Arc d'Izieux à Saint-Chamond, 1920 ; rue de la République

 

 

 

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10 avril 2017

travaux place Saint-Pierre, journal de bord

travaux 10 avril 2017 (5)

 

 

travaux place Saint-Pierre,

journal de bord : avril-juin 2017

 

 

 

lundi 10 avril 2017 

 

Les travaux pour la requalification de la place Saint-Pierre ont commencé ce lundi 10 avril 2017. Première étape, le retrait du revêtement bitumineux sur les espaces de parking.

 

travaux 10 avril 2017 (1)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (2)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (3)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (4)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (5)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (6)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (7)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 8 heures

 

travaux 10 avril 2017 (8)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 19 heures

 

travaux 10 avril 2017 (9)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 19 heures

 

travaux 10 avril 2017 (10)
premier jour des travaux, devant les n° 11 et 12 place Saint-Pierre, 19 heures

 

 

mardi 11 avril 2017 

 

travaux 11 avril 2017 (1) - 1
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (2) - 1
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (3) - 1
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (4) - 1
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (5)
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (6)
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (7)
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (8)
mardi 11 avril 2017

 

travaux 11 avril 2017 (9)
mardi 11 avril 2017

 

 

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28 juillet 2006

Monument à la mémoire de Sadi Carnot

projet_monument_Sadi_Carnot
dessin du projet de monument à la mémoire de Sadi Carnot
(1894, archives communales de Saint-Chamond, 1 Msc 31)

 

Monument à la mémoire de Sadi Carnot

pièces provenant des archives municipales

Michel RENARD

 

Les archives communales détiennent une copie du registre des délibérations du conseil municipal (transcrite ci-dessous), en date du 28 juin 1894, soit trois jours après le décès du Président de la République Sadi Carnot (et quatre jours après l'attentat qui lui a été fatal). On y lit la réaction républicaine des édiles saint-chamonais. Le financement s'avère, comme souvent, plus difficile qu'imaginé Phototh_que___2640au départ... Et le Comité de souscription publique s'adresse à la mairie, en mai 1895, pour obtenir le complément nécessaire. Dans le dossier des archives communales ne figure aucune autre pièce, mais le Comité a dû voir sa demande agréée puisque le monument est inauguré six mois plus tard.

Michel Renard

 

Conseil municipal, séance du 28 juin 1894

L'an mil huit cent quatre vingt quatorze et le vingt-huit juin, à 8 heures du soir, le conseil municipal convoqué par M. le Maire par suite de la mort de Monsieur le Président de la République, s'est réuni dans la salle ordinaire de ses séances à la Mairie, sous la présidence de M. Vial, maire.

Sont présents : MM. Vial, maire ; Rochefort, adjoint ; Thonlieux Claude, Barrier, Loubet, Tonlieux Joseph, Grange, Lagier, Chavay, Lesme, Collet, Marcoux, Gavar, Quatresols, Leroy, Marchais, Perrin, Simon, et Métral. - Absents sans excuses : MM. Boissonnat, Fontvielle, Freynet, Bessard, Rossary, Mennessier, Rey, et Ogier. - M. Grange est nommé secrétaire.

Obsèques de Monsieur le Président de la République
Érection d'un monument à sa mémoire

Se faisant l'interprète des sentiments de la population de cette ville envers le regretté Président de la République que la France vient de perdre d'une façon si malheureuse, propose au Conseil :

1° - L'envoi d'une délégation de plusieurs de ses membres pour assister aux funérailles de Monsieur Carnot.
2° - L'achat d'une couronne mortuaire pour être offerte au nom de la ville.
3° - L'érection à Saint-Chamond, d'un monument à la mémoire de Monsieur Carnot, par voie de souscription publique.
4° - La suppression cette année, en signe de deuil, des réjouissances habituelles de la fête nationale du 14 juillet, et l'augmentation de la somme allouée chaque année en pareille circonstance au bureau de bienfaisance pour être distribuée aux pauvres.
Le Conseil, après examen de ces diverses propositions, déclare les accepter.
En conséquence, les décisions suivantes ont été prises.

1° - Quatre délégués sont désignés pour assister aux obsèques de Monsieur Carnot, savoir : M. Vial, maire, MM. Marcoux, Lesme et Thonlieux Joseph, porteurs d'une couronne mortuaire.
2° - À l'unanimité, l'érection d'un monument en cette ville, à la mémoire de Monsieur Carnot, par voie de souscription publique, sur laquelle le Conseil déclare inscrire la ville comme tête de liste pour une somme de 1000 francs.
3° - L'augmentation des secours accordés, chaque année aux indigents à l'occasion de la fête du 14 juillet, somme qui sera portée pour 1894 de 600 à 1000 francs.
4° - Et enfin, la suppression de la fête du 14 juillet et, pour cette année, des réjouissances habituelles.
Par suite, le crédit de 2500 francs, porté au budget de l'exercice courant, afférent aux dépenses de la dite fête, devant rester libre, le Conseil demande à M. le Préfet de vouloir bien autoriser le virement nécessaire de ce crédit sur lequel seront prélevés les frais occasionnés par la délégation qui vient d'être désignée, ceux d'achat de la couronne mortuaire et les 1000 francs destinés à la souscription publique du monument.

(signatures)

transmis le 4 juillet 1894
vu et approuvé
Saint-Étienne, le 30 juillet 1894
pour le préfet, le secrétaire général délégué
signé : Ladrat

- source : archives communales de Saint-Chamond, 1 Msc 31 

 

projet_buste_Sadi_Carnot
le buste du projet de monument à la mémoire de Sadi Carnot

(1894, archives communales de Saint-Chamond, 1 Msc 31).
À la réalisation, le sculpteur a donné au visage des traits plus augustes
et n'a pas retenu le drapé ceinturant le buste, comme on peut le vérifier ci-dessous.

 

Saint_Cham_3_juillet__11_
le monument Sadi Carnot dans le jardin de l'Hôtel de ville
de Saint-Chamond, en juillet 2006

 

Demande du Comité de souscription, 23 mai 1895

Saint-Chamond, le 2 mai 1895

Monsieur le Maire,
Messieurs les membres du Conseil municipal,

L'année passée, au lendemain de l'assassinat du Président Carnot...


Comit__souscription__1_

Comit__souscription__2_
(1895, archives communales de Saint-Chamond, 1 Msc 31).

 

Phototh_que___2640

 

- voir l'histoire et l'analyse de ce monument, sur ce site

 

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10 décembre 2006

L'église Notre-Dame à Saint-Chamond

notre_dame_photo_r_cente
vue récente de l'église Notre-Dame à Saint-Chamond

 

l'église Notre-Dame à Saint-Chamond

construite en 1881

 

vues anciennes

Notre_Dame_Saint_Chamond_1910
église Notre-Dame, 1910

 

Notre_Dame_1910
église Notre-Dame, 1910

 

place_Libert__Saint_Cham
place de la Liberté, au fond l'église Notre-Dame

 

porche__glise_notre_dame
porche de l'église Notre-Dame

 

Notre_Dame___Saint_Chamond_1967
église Notre-Dame, 1967

 

Notre_Dame_Saint_Chamond_fa_ade
façade de l'église, vue antérieure à 1979

 

- "L'église Notre Dame actuelle date de 1881. Les industriels de l'époque avaient fait des dons importants pour sa construction, puis pour l'embellissement du monument. De 1925 à 1930 ont été réalisés le porche central et ses arcades, colonnes, roses et chapiteaux. La «Vierge de la Paix» qui domine la grande porte fut déposée en 1946, c'est l'oeuvre du sculpteur Bellori. Des vitraux retracent la vie de Saints : Saint François Régis, Saint-Louis, la vie de la Vierge, Sainte Cécile, Saint-Ennemond, etc. L'orgue fut inauguré le 26 juillet 1883. Dans l'un des clochers se trouve un carillon composé de dix cloches.

Suite à un risque d'effondrement, en 2004, la flèche de l'un des clochers a été démolie. Depuis lors l'église Notre-Dame est fermée pour des raisons de sécurité. La façade de l'église a été totalement ravalée lors de l'aménagement récent de la place de la liberté. Nous espérons que les travaux en cours et futurs permettront la réouverture de l'église."

 

source : st-ennemond42.cef.fr

 

_glise_Notre_Dame__en_couleurs_

Michel Renard
professeur d'Histoire


- vidéo : reconstitution de la première église Notre-Dame (1617-1875)

 

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11 novembre 2006

L'école Lamartine

t_Saint_Cham_3_juillet__36_
école Lamartine en 2006




le groupe scolaire Lamartine



- cartes postales anciennes

 

_cole_Lamartine

 

_cole_Lamartine_en_couleurs
carte ayant circulée en 1936

 

Lamartine_avec_autos
début des années 1930 (?)

 

groupe_scolaire_Lamartine
années 1950 (?)

 

- ajout du 23 janvier 2013

Lamartine 1
quand l'entrée de l'école était face au bâtiment

 

Lamartine 2
carte écrite en 1928

 

Lamartine 3
années 1920...

 

Lamartine 4
carte postale colorisée

 

Lamartine 5

 

Lamartine 6
années 1920, carte postale colorisée

 

Lamartine 7
carte postale colorisée

 

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11 août 2006

Caisse d'Épargne, rapports 1917 et 1918

t_Saint_Cham_3_juillet__33_
Caisse d'Épargne de Saint-Chamond




Caisse d'Épargne, rapports 1917 et 1918



Caisse_d__pargne_rapport_1917
rapport sur l'exercice 1917, paru en 1918



Caisse_d__pargne_rapport_1918
rapport sur l'exercice 1918, paru en 1919


Caisse_d__pargne__1917_18
dans chacun de ces rapports, figurait cette image
de l'édifice tel qu'il existait à l'époque de la Première
Guerre mondiale


Caisse_d__pargne_1910
la Caisse d'Épargne de Saint-Chamond, 1910





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