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Saint-Chamond
6 avril 2014

Izieux, plaques Michelin/T.C.F.

 plaque TCF Petin-Gaudet 1

 

deux plaques émaillées Michelin/T.C.F.

à Izieux (Saint-Chamond)

 

Les plaques directionnelles de Michelin et du Touring Club de France ont marqué le paysage routier en France. Beaucoup susbistent encore, et montrent la qualité de la signalétique routière dans les années d'avant et d'après la Première mondiale sur le territoire national.

Le Touring Club de France (T.C.F.) est né en 1890 pour promouvoir le tourisme en France. Le principe du financement de la signalisation routière par le TCF date de 1919, mais dès 1890, Michelin finançait gratuitement de telles plaques. En 1914, le TCF en avait déjà apposé 30 000 en France.

L'enseigne est une plaque émaillée. Le principe du lettrage bleu sur fond blanc date de 1924.

 

plaque TCF Petin-Gaudet 1
plaque directionnelle Michelin/TCF à Izieux, 6 avril 2014

 

plaque TCF Petin-Gaudet 2
plaque directionnelle Michelin/TCF à Izieux, 6 avril 2014

 

ue Petin Gaudet panneaux indicateurs
plaques directionnelles sous le pont de chemin de fer, à Izieux (photo Street View)

 

rues Petin Gaudet et Royet de la Bastie
angle des rues Petin-Gaudet et Royet de la Bastie, à Izieux (photo Street View)

 

 

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15 avril 2014

jardin public, au printemps 2014

St-Cham jardin public (9)

 

 

le jardin public de Saint-Chamond

15 avril 2014

 

 

St-Cham jardin public (1)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (2)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (3)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (4)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (5)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (6)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (7)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (8)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (9)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (10)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (11)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (12)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (13)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

St-Cham jardin public (14)
jardin public de Saint-Chamond, 15 avril 2014

 

photos © Michel Renard

 

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23 avril 2014

vestiges de portail rue Dugas-Montbel

vestiges portail (2)

 

 

les vestiges d'un portail rue Dugas-Montbel

à Saint-Chamond

 

 

vestiges portail (1)
élégante grille en fer forgé entourée de deux colonnes carrées

 

vestiges portail (2)
portail d'entrée d'une demeure aujourd'hui disparue

 

vestiges portail (3)
un D ou double D sur le treillis supérieur

 

Portail orphelin, rue Dugas-Montbel à Saint-Chamond. Photos du mercredi 23 avril 2014 à 17 h 40.

 

________________

 

Suite au commentaire de "Ennemond", ce jour, qui se demande si il ne faudrait pas voir un "D" et un "V" enlacés, je réponds qu'à mon avis, il s'agit plutôt des deux "D" de Victor De Boissieu (1837-1901) et de son épouse Marie Antoinette Dugas-Montbel (1844-1905), rentiers, demeurant au numéro 3 bis de la rue Dugas-Montbel.

Mais ce n'est qu'une hypothèse. La date de pose du portail est ignorée, de même l'espace sur lequel il ouvrait.

 

portail forgé rue Dugas-Montbel 28 mai 2016
portail en fer forgé de la rue Dugas-Montbel, 28 mai 2016 vers 11 h

 

recensement 1901 rue Dugas-Montbel (1)
extrait du recensement de la rue Dugas-Montbel, 1901

 

recensement 1901 rue Dugas-Montbel (2)
extrait du recensement de la rue Dugas-Montbel, 1901 (détail de la photo ci-dessus)

 

recensement 1901 rue Dugas-Montbel (3)
extrait du recensement de la rue Dugas-Montbel, 1901 (suite)

 

En 1901, les époux De Boissieu vivent, au 3 bis rue Dugas-Montbel, avec leurs deux filles (Marie et Marguerite) et sept domestiques : deux cuisinières, deux femmes de chambre, un cocher et deux autres domestiques. Ce personnel semble loger sur place.

28 mai 2016
Michel Renard

 

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21 novembre 2008

propriété Pinay : travaux

Diapositive1



début des travaux de démolition dans

l'ancienne propriété Pinay


destruction_entr_e_parc_Pinay_1___21_nov
le vendredi 21 novembre 2008, vers 7 h 30 du matin


Route du Coin, les travaux de démolition ont commencé le 20 novembre 2008 dans l'ancienne propriété Pinay.


destruction_entr_e_parc_Pinay_2___21_nov
le portail est abattu et la maison de garde en passe de l'être


destruction_entr_e_parc_Pinay_3___21_nov
les couleurs de fin de nuit donnent à ces travaux un côté sinistre



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12 février 2014

belle journée d'hiver au cimetière

rue de l'Éternité (1) 12 fév 2014
l'entrée principale du cimetière est accessible à partir de la rue "de l'Éternité"

 

 

 

quelques vues du cimetière de Saint-Chamond,

le 12 février 2014

 

93807450_o
"rue de l'Éternité", quel nom de bonne augure pour un cimetière...!

 

cimetière Institution Ste-Marie 12 fév 2014
la stèle de l'Institution Sainte-Marie au cimetière de Saint-Chamond

 

vue avec pins (1) 12 fév 2014
vue du cimetière, proche de l'entrée principale

 

vue avec pins (2) 12 fév 2014
vue du cimetière, proche de l'entrée principale

 

tombe Sarront (1) 12 fév 2014
tombe de la famille Sarront...

 

tombe Sarront (2) 12 fév 2014
...avec des dates remontant au XVIIIe siècle...

 

 

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21 novembre 2014

rond-point Paul et Marie Cave à Saint-Chamond

rond-point Paul et Marie Cave 21 nov 2014 (1)
rond-point Paul et Marie Cave à Saint-Chamond, vendredi 21 novembre 2014 à 15 h 19

 

le "buisson ardent" du rond-point

Paul et Marie Cave à Saint-Chamond

 

rond-point Paul et Marie Cave 21 nov 2014 (2)
rond-point Paul et Marie Cave à Saint-Chamond, vendredi 21 novembre 2014 à 15 h 19

 

On peut lire dans l'Exode (Ancien Testament) la célèbre mention du "buisson ardent" : "Moïse faisait paître le troupeau de Jethro, son beau-père, sacrificateur de Madian ; et il mena le troupeau derrière la montagne de Dieu, à Horeb. L'ange de l'Éternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda ; et voici le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point" (Exode, 3 1-3).

Je pourrais y lire un message de mon fils, mort à 34 ans, le 22 octobre dernier et incinéré le 5 novembre, à côté de Paris : "Tu vois Papa, je brûle mais je ne me consume pas, je suis toujours là, avec toi..."

Michel Renard

 

 

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15 décembre 2014

rue du Rivage

plan 1895 st-Cham rue du Rivage

 

rue du Rivage à Saint-Chamond

 

Question

Je voudrais savoir quelle est l'origine du nom de la rue du "Rivage" à Saint-Chamond.
Merci Posté par gabrile, 15 décembre 2014

 

Réponse

Sans investigation archivistique particulière, je suppose que cette voie doit son nom au fait qu'elle menait de l'église Notre-Dame à la rive du Gier (alors non couvert), juste après l'ancienne place Saint-Antoine.

Le plan de 1895 la place dans cet axe. (sous réserve de plus amples recherches).

 

plan 1895 st-Cham rue du Rivage extrait
plan de Saint-Chamond (extrait), 1895 : la rue du Rivage joint l'église Notre-Dame et le cours du Gier

 

Diapositive1
plan de Saint-Chamond (extrait), 1895 : la rue du Rivage joint l'église Notre-Dame et le cours du Gier

 

Michel Renard
professeur d'histoire
au lycée de Saint-Chamond

 

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21 janvier 2015

première neige à Saint-Chamond, le mercredi 21 janvier 2015

neige 21 janv 2015 (1)

 

 

hiver 2014-2015 : première neige

le 21 janvier 2015

 

 

neige 21 janv 2015 (1)
place Saint-Pierre, le 21 janvier 2015, vers 16 heures

 

neige 21 janv 2015 (2)
école du Garat et immeubles au loin, le 21 janvier 2015, vers 16 heures

 

neige 21 janv 2015 (3)
immeuble Saint-Pierre, cour intérieure sous la neige, le 21 janvier 2015, vers 16 heures

 

neige 21 janv 2015 (4)
place Saint-Pierre, le 21 janvier 2015, vers 16 heures

 

 

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8 mars 2015

une lettre inédite d'Antoine Pinay en 1905

Antoine Pinay élève à Sainte-Marie
Antoine Pinay, jeune adolescent, élève à l'école Sainte-Marie de Saint-Chamond

 

 

une carte de l'élève Antoine Pinay

à son ami (cousin ?) Jean Pinay,

le 16 avril 1905 (inédit)

 

 

Pinay carte 16 avril 1905 (1)
recto de la carte : Antoine Pinay écrit le 16 avril 1905 à son ami (cousin ?) Jean ;
la carte représente une partie des bâtiments du collège Sainte-Marie à Saint-Chamond


 

Pinay carte 16 avril 1905 (2)
verso de la carte : elle est adressée à Étienne Pinay, le père de Jean,
domicilié à Saint-Symphorien-sur-Coise

 

On ne dispose guère de témoignages ni de sources écrites sur l'enfance d'Antoine Pinay. Sa biographie se concentre, habituellement, sur sa longue carrière politique.

Exceptionnellement, j'ai retrouvé une carte postale adressée à son ami (cousin ?) Jean Pinay par Antoine Pinay en date du 16 avril 1905.

Il est alors élève, en classe des "moyens" au collège Sainte-Marie à Saint-Chamond. Les parents d'Antoine, Claude (1852-1919) et Marie Antoinette (1861-1936) résident à Saint-Symphorien-sur-Coise, dans le Rhône, où le père dirige sa fabrique de chapeaux avec ses cent cinquante ouvriers.

La question est de savoir qui est ce Jean Pinay, fils d'Étienne Pinay, domiciliés également à Saint-Symphorien-suur-Coise, boulevard Étienne Blanchon. En 1901, Étienne, le père, a 40 ans, son fils Jean 7 ans, sa fille Marie 4 ans. Existe-t-il un lien de parenté entre les deux familles ? Peut-être.

Voici le texte.

- "Saint-Chamond, le 16/4/05.

Cher Jean,

Te voilà déjà en vacance tandis que moi encore huit jours. Nous aurons à peine une semaine à passer ensemble car tu rentre [sic] bien le 1er mai. Nous aurons tout de même le temps de nous amuser ensemble et de faire de la byciclette [sic]. il y aura 6 mois que Pierre et moi n'en auront [sic] pas fait, car je crois que tu en as fait au jour de l'an. Voilà l'entrée de la maison ou [sic] (je) suis en ce moment. Dans quelques jours je t'enverrai le reste de la maison ou [sic] une partie du reste car on ne la voit pas toute. Ou [sic] j'ai mis des croix, c'est le dortoir des petits ou [sic] je couchais l'année dernière ; et ou [sic] j'ai mis un trait, c'est l'étude des petits. En face de ce dortoir, il y a celui des moyens et l'étude des moyens où je suis cette année. Je te quitte car le papier me manque. Embrasse Rebelle et Maurice de ma part ; beaucoup de choses à tes parents. Je t'embrasse bien fort.

Antoine Pinay"

____________

 

La carte est adressée à Étienne Pinay avec la mention "Pour M. Jean". Le cachet indique la date du 17 avril, et l'année semble être "15", ce qui serait une erreur.

À cette date, Antoine Pinay a un peu plus de quatorze ans. On dit qu'il est entré à Sainte-Marie en 1902. Il aurait alors effectué deux années de "Petits" : 1902-1903 et 1903-1904. En 1905, il suivrait sa première année en "Moyens". À vérifier.

Michel Renard
professeur d'histoire
lycée de Saint-Chamond

 

la "division des Moyens" à Sainte-Marie,

selon le romancier Gabriel Chevallier (1937)

 

Les élèves du collège étaient répartis en trois divisions : les Petits, les Moyens et les Grands.

Chaque division, placée sous l’autorité d’un Préfet et d’un surveillant, avait sa salle d’étude, son réfectoire, son dortoir, sa cour de récréation et ses bancs à la chapelle. Les divisions ne devaient communiquer entre elles que le moins possible, car on estimait dangereuses les fréquentations entre garçons d’âges différents, dont l’évolution n’était pas au même point. On craignait les exemples de dissipation, et surtout la contagion de curiosités nuisibles à la pureté des plis jeunes.

De même qu’elles possédaient leurs installations propres, les divisions avaient, chacune, leurs traditions et leur climat. Les Petits faisaient plutôt pitié. Ils attendaient de grandir et enviaient les élèves des hautes classes, dont ils imitaient parfois les traits de caractère ou les singularités de costume. Les Grands, au contraire, bénéficiaient d’un prestige particulier. Ils connaissaient bien plus de choses que leurs cadets, on leur tolérait des licences plus grandes et des jeux plus téméraires. Promus au rang d’hommes, ils feraient bientôt leurs débuts dans la vie : un Eden allait s’ouvrir devant eux, où tout serait découvertes, aventures splendides et absence de contraintes.

Des trois divisions, la plus mal notée, sans conteste, se trouvait être celle des Moyens, composée de garçons qui traversaient l’aride période de l’«âge ingrat», de la mue, et qui subissaient les poussées spasmodiques d’une transformation mystérieuse et brouillonne au terme de laquelle ils atteindraient à l’adolescence véritable. Il est vrai que turbulence, insolence, inattention, paresse et vantardise étaient les ordinaires défauts des garçons, entre douze et quinze ans. Pour ces raisons, la division des Moyens jouissait d’une renommée un peu scandaleuse. On y chahutait ferme.

Gabriel Chevallier
Sainte-Colline, 1937,
Livre de Poche, 1962, p. 82-83

 

Sainte-Colline couv

 

 

 

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30 mars 2014

second tour des élections municipales à Saint-Chamond, 30 mars 2014

affichage 2e tour (photo 28 mars 2014)

 

deuxième tour des Municipales à Saint-Chamond

30 mars 2014

 

façade Mairie St-Cham 27 mars 2014
la façade historique de l'Hôtel de Ville de Saint-Chamond (classée MH), le jeudi 27 mars 2014

façade off Mairie St-Cham 27 mars 2014
l'entrée officielle de la Mairie de Saint-Chamond, le jeudi 27 mars 2014

 

les candidats

 

affichage 2e tour (photo 28 mars 2014)
trois candidats, mais deux affiches seulement... (photo, 28 mars 2014)

 

Dimanche 30 mars 2014, se tenait le deuxième tour du scrutin municipal à Saint-Chamond. Il s'agissait d'une triangulaire opposant :

- Hervé Reynaud (Divers Droite), qui bénéficiait du désistement de Mandon (mais sans appel à voter) et du soutien de François Rey

- Philippe Kizirian (Gauche)

- Franck Descours (Front National)

 

le déroulement du scrutin

isoloir 30 mars 2014
isoloir de la machine à voter, bureau "Jean Renoir", Hôtel-Dieu, 30 mars 2014

 

bureau de vote Jean Renoir 30 mars 2014 (1)
bureau "Jean Renoir", Hôtel-Dieu, 30 mars 2014, à 11 h 18

 

bureau de vote Jean Renoir 30 mars 2014 (2)
bureau "Jean Renoir", Hôtel-Dieu, 30 mars 2014, à 11 h 18

 

bureau de vote Pagnol 30 mars 2014 (1)
bureau "Marcel Pagnol", Hôtel-Dieu, 30 mars 2014, à 11 h 20

 

bureau de vote Pagnol 30 mars 2014 (2)
bureau "Marcel Pagnol", Hôtel-Dieu, 30 mars 2014, à 11 h 20

 

les résultats

Ont obtenu :

- Hervé Reynaud : 7 717 voix, 50,44 %, 30 élus

- Philippe Kizirian : 5 219 voix, 36,99 %, 7 élus

- Franck Descours : 1 775 voix, 12,58 %, 2 élus

* le taux de participation s'est élevé à 60,25 %

- résultats par bureau de vote (doc pdf)

- résultats du premier tour, 23 mars 2014

 

soirée d'élection à Saint-Chamond

 

soirée 30 mars 2014 (1)
devant la mairie de Saint-Chamond, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h

 

soirée 30 mars 2014 (2)
l'arrivée de Philippe Kizirian devant la mairie de Saint-Chamond, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 01

 

soirée 30 mars 2014 (3)
devant la mairie de Saint-Chamond, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 01

 

soirée 30 mars 2014 (4)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 11

 

soirée 30 mars 2014 (5)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 12

 

soirée 30 mars 2014 (6)
Jean-Luc Degraix, en cinquième position sur la liste conduite par Hervé Reynaud,
le 30 mars 2014 à 18 h 12

 

soirée 30 mars 2014 (7)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 12

 

soirée 30 mars 2014 (8)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 12

 

soirée 30 mars 2014 (9)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 13

 

soirée 30 mars 2014 (10)
devant le siège de la liste Hervé Reynaud, le dimanche 30 mars 2014 à 18 h 14

 

soirée 30 mars 2014 (11)
une joie pour une victoire qui est le résultat d'un long travail de terrain

 

soirée 30 mars 2014 (12)
le regard porté sur l'avenir d'une responsabilité à assumer

 

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7 avril 2015

incendie à Saint-Chamond le mardi 7 avril 2015

incendie St-Cham 7 avril 2015 (1)

 

 

incendie à Saint-Chamond le mardi 7 avril 2015

 

 

incendie St-Cham 7 avril 2015 (2)
incendie sur le parking des Capucins


incendie St-Cham 7 avril 2015 (4)
incendie sur le parking des Capucins


 

Vers 20 heures, un incendie ravageait une automobile sur le parking de la rue des Capucins à Saint-Chamond. À cette heure, les pompiers étaient déjà prévenus et à l'oeuvre.

M.R.

 

 

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7 septembre 2014

belle luminosité sur Saint-Chamond

Saint-Chamond 7 sept 2014 (3)

 

 

dimanche lumineux à Saint-Chamond

7 septembre 2014

 

Saint-Chamond 7 sept 2014 (1)
Saint-Chamond, vue sur l'est ; au premier plan la cour intérieure de l'école du Garat

 

Saint-Chamond 7 sept 2014 (2)
Saint-Chamond, vue sur l'est ; au fond, la plaine rhodanienne

 

Saint-Chamond 7 sept 2014 (3)
Saint-Chamond, premières feuilles jaunes sur la place Saint-Pierre

 

Saint-Chamond 7 sept 2014 (4)
Saint-Chamond, vue sur le couchant à 19 h 52

 

Tant que nous aurons sous les yeux ces payages, il y aura de bonnes raisons de rester à Saint-Chamond.

 

 

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2 février 2008

rue Alsace-Lorraine

1910_d_tail

 


rue Alsace-Lorraine avant 1910



1910_rue_Alsace_Lorraine
entrée de la rue d'Alsace-Lorraine, carte postée en 1910

 

rue Alsace-Lorraine personnages
rue d'Alsace-Lorraine, avant 1914

 

rue Alsace-Lorraine St-Cham 1910
rue Alsace-Lorraine, avant 1910, colorisée

 

Diapositive1
la rue Alsace-Lorraine, entre le rond-point des Rencontres et la rue Paul Verlaine

 

 

La rue Alsace-Lorraine aujourd'hui (jeudi 14 juillet 2011, fin de matinée)

 

rue Alsace-Lorraine 14 juillet 2011 (1)
entrée de la rue à partir de la librairie Plaisance


rue Alsace-Lorraine 14 juillet 2011 (2)
perspective


rue Alsace-Lorraine 14 juillet 2011 (3)
je lui trouve moins de caractère qu'il y a un siècle...

 

- retour à "Rues et quartiers"
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12 avril 2015

incendie en décembre 1910, rue Petin-Gaudet

Le Stéphanois 1910 titre

Le Stéphanois, en 1910

 

 

incendie du 5 décembre 1910, rue Petin-Gaudet

près du Pont-Noir d'Izieux

 

 

Le Stéphanois mercredi 7 déc 1910 incendie
Le Stéphanois, mercredi 7 décembre 1910

 

Le Stéphanois, mercredi 7 décembre 1910 - Saint-Chamond : incendie d'un fagottier

Lundi soir vers 10 h 1/2, le clairon des pompiers sonnait soudain par nos rues et places, le tambour résonnait lugubrement annonçant qu'un sinistre venait d'éclater.

Rue Petin-Gaudet près le pont noir d'Izieux, est établi un sieur Minaire qui tient une pâtisserie, c'est dans la cour de l'immeuble près de son laboratoire, dans un fagottier, que probablement quelques étincelles transportées par le vent violent qui soufflait sur la vallée mirent le feu au bois sec entassé dans la cour.

L'émotion fut vive aux alentours car, activité par le vent, le sinistre pouvait prendre de grandes proportions. C'est grâce à la promptitude des secours que l'on put calmer la terreur bien légitime des voisins et arrêter les progrès de l'incendie.

Les pompiers de Saint-Chamond s'étaient rendus sur les lieux ainsi que la police et la gendarmerie.

Les dégâts peu importants se bornent à la destruction du fagottier, environ 300 francs.

______________

 

Pont Noir rue Pétin-Gaudet 2008
le Pont-Noir, rue Petin-Gaudet en juillet 2008 (Google Maps Street View)

 

Michel Renard
professeur d'histoire

Michel retour lycée 3 oct 2012

 

 

 

 

 

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25 octobre 2007

réaménagement du site Giat

Aci_ries_Marine_cpa


 

Concours European

Saint-Chamond sélectionnée par l'Union

européenne !


Saint-Chamond vient d'être retenue par le comité Europan France, pour participer à un concours d'architecture et d'urbanisme ouvert spécifiquement aux jeunes équipes d'architectes de l'ensemble de l'Union Européenne.

Le programme de ce concours initié par le Ministère de l'Equipement français, porte sur le site Giat à Saint-Chamond autour de trois thèmes :
- l'aménagement à vocation résidentielle du secteur situé au nord de Giat
- la valorisation des halles industrielles à intérêt patrimonial (implantation d'équipement mixte)
- la localisation d'un grand équipement à vocation sportive (stade couvert de sports en salle)

Sélectionnée avec cinq autres villes françaises (Bordeaux, Mulhouse, Le Havre, Reims et Clermont-Ferrand), le dossier de Saint-Chamond sera étudié sur le thème du réaménagement d'un site industriel en milieu urbain.


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source

Saint-Étienne Métropole a arrêté un programme d’intervention sur le site Giat de Saint-Chamond, identifié au titre des sites stratégiques par la communauté d’agglomération.

Candidate au concours d’architecture et d’urbanisme «Europan», Saint-Chamond a été représentée à Berlin en Allemagne au mois de décembre, par Jean Buisson, 1er adjoint de la ville, accompagné de François Duval, directeur général adjoint de Saint-Étienne Métropole, pour la présentation des dossiers. C’est dans le thème «réaménagement d’un site industriel en milieu urbain» que le dossier de Saint-Chamond a été sélectionné, au même titre que ceux d’Amsterdam, Zagreb, Varsovie, Genève…

Programme                         

Sur la base de l’étude menée par le cabinet Latz et Partners, pilotée conjointement par Saint-Étienne Métropole, la ville de Saint-Chamond et Epora, le programme opérationnel prévoit, au-delà des terrains délaissés par l’industrie, une possibilité d’articulation avec le centre ville dont il reste très proche.

La gestion de ce concours sera assurée au plan local par Saint-Étienne Métropole, la ville de Saint-Chamond et Epora. Les dépenses d’organisation du concours seront prises en charges par le comité «Europan». Un comité, constitué autour de ces trois partenaires, assurera le suivi technique de ce projet. Il associera l’agence d’urbanisme Epures, chargée de la conduite technique du programme, la direction départementale de l’équipement (DDE), le service départemental d’architecture et de patrimoine (SDAP) et le musée de la Mine.

Le résultat de ce concours sera connu en fin d'année.

source : saint-chamond.fr


liens

- Atelier de projet DDE 42

- étude de requalification du site Giat à Saint-Chamond

- requalification de l'espace et dynamisme économique


Areliers_Aci_ries_cpa
ateliers des Aciéries de la Marine à Saint-Chamond (Loire)


- retour à l'accueil

7 avril 2015

fleurs à Saint-Chamond

Saint-Chamond 7 avril 2015 (1)

 

 

aller au lycée et en revenir à pied...

Michel RENARD

 

Saint-Chamond 7 avril 2015 (1)
escalier entre la route du Coin (à hauteur de la Gare) et la rue de la Paix

 

Saint-Chamond 7 avril 2015 (2)
forsythias en fleur rue de la Paix

 

Saint-Chamond 7 avril 2015 (3)
escalier entre la rue de la Paix et la route du Coin (à hauteur de la Gare)

 

Saint-Chamond 7 avril 2015 (4)
 route du Coin à hauteur de la Gare : pensées et forsythias

 

Saint-Chamond 7 avril 2015 (5)
les arbres du parc de l'hôpital, rue Dugas-Montbel

 

Longtemps habitant de la région parisienne, contraint aux transports par bus de banlieue et métro, je considère comme un immense confort de pouvoir se rendre à son travail à pied.

Longer de beaux murs de pierre, sentir la menthe qui vient du jardin public, parcourir des rues et trottoirs propres - je salue le travail des ouvriers tôt levés le matin qui entretiennent les voies publiques -, marcher à côté de maisons qui ne sont pas plus hautes que les arbres, et entendre les merles.

Michel Renard
professeur d'histoire au lycée

 

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27 janvier 2017

les ponts de Saint-Chamond

pont de la Rive (1) 

 

 

les anciens ponts à Saint-Chamond

 

En la ville de Saint-Chamond, les ponts ont désormais disparu. Ils enjambaient le Gier et le Janon. Mais ces cours d'eau ont été recouverts au fil des années.

La commune conserve, cependant, des ponts importants sur les barrages.

Retour sur les ponts empruntés par les Saint-Chamonais d'antan ainsi que sur le curieux "pont des Planches".

 

 

le pont des Planches

 

pont des Planches (1)
le pont des Planches au fond et les "chanées" au premier plan

 

pont des Planches (2)
le pont des Planches au fond et les "chanées" au premier plan

 

pont des Planches (3)
le pont des Planches au fond et les "chanées" au premier plan

 

pont des Planches (4)
le pont des Planches au fond et les "chanées" au premier plan

 

pont des Planches (6)
le pont des Planches au fond et les "chanées" au premier plan

 

pont des Planches (5)
le pont des Planches et les "chanées"

 

Pont des Planches et béal
le pont des Planches et le béal (petit canal de dérivation, à droite)

 

En aval du pont des Planches, se trouvaient ces curieux conduits de bois, appelés "chanées" (gouttières), soutenus par des pilotis. Ils servaient à acheminer puis à évacuer l'eau utilisée par les différentes fabriques installées le long du Gier.

Sur la rive gauche du Gier (à droite sur les photos ci-dessus), se trouvait le béal, un petit canal de dérivation qui conduisait l'eau au moulin "à soye".

 

 

le pont de la Rive

 

pont de la Rive (1)
le pont de la Rive à Saint-Chamond

 

pont de la Rive (2)
le pont de la Rive à Saint-Chamond

 

pont de la Rive cpa légendée
le pont de la Rive à Saint-Chamond au début du XXe siècle, croquis de situation

 

 

le pont Saint-Pierre (1)

 

pont Saint-Pierre (1)
le pont Saint-Pierre à Saint-Chamond

 

pont Saint-Pierre (2)
le pont Saint-Pierre à Saint-Chamond, début du XXe siècle

 

pont Saint-Pierre cpa légendée
le pont Saint-Pierre et son environnement, croquis de situation

 

plan 1935 pont Saint-Pierre légendé
le pont Saint-Pierre, visualisé, sur un plan de 1935 avec légende additionnelle

 

 

le pont Saint-Pierre (2) 

 

pont Saint-Pierre (3)
le Gier vu du pont Saint-Pierre, à Saint-Chamond

 

pont Saint-Pierre (4)
le Gier vu du pont Saint-Pierre, à Saint-Chamond

 

pont Saint-Pierre (5)
le Gier vu du pont Saint-Pierre

 

pont Saint-Pierre (6)
le Gier vu du pont Saint-Pierre, à Saint-Chamond, début du XXe siècle

 

pont Saint-Pierre (7)
le Gier vu du pont Saint-Pierre, à Saint-Chamond, début du XXe siècle

 

 

le pont Saint-Pierre (3)

 

église St-Pierre vue du Gier (1)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

église St-Pierre vue du Gier (2)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

église St-Pierre vue du Gier (3)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

église St-Pierre vue du Gier (4)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

église St-Pierre vue du Gier (5)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

église St-Pierre vue du Gier (6)
le pont Saint-Pierre, au fond, vu de l'aval

 

 

le pont du Barrage

 

pont du Barrage (1)
pont du Barrage

 

pont du Barrage (2)
pont du Barrage

 

 

 

pont près de Saint-Chamond

 

pont près St-Chamond (1)
pont près de Saint-Chamond

 

 

les ponts de Saint-Chamond, selon l'historien Stéphane Bertholon

 

Dans Histoires de Saint-Chamond (1927), Stéphane Bertholon, recensait les ponts et quais de la ville.

 

pont Bertholon (1)

pont Bertholon (2)

pont Bertholon (3)
Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond, p. 118-120

 

* à suivre...

 

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24 mai 2015

une réplique du char Saint-Chamond

char_stcha1-2_1_-2-87d87

 

réplique et projet de réplique du

char Saint-Chamond

 

Saint-Chamond char Le Progrès 24 mai 2015 - 1
Le Progrès, page Saint-Chamond, dimanche 24 mai 2015

 

Les Amis du Vieux Saint-Chamond et le Cerpi (Centre d'études et de recherches du Patrimoine industriel) ont le projet de refaire, grandeur nature, un char Saint-Chamond en acier. Alain Rivory, président des Amis du Vieux Saint-Chamond explique qu'il faut d'abord en reconstituer les plans, trouver un local pour le construire et l'exposer, réunir une main d'oeuvre compétente et, enfin, recueillir les fonds nécessaires. (source : Le Progrès du dimanche 24 mai 2015).

 

- le char Saint-Chamond, 1916, sur chars-français.net.

- le char 25 tonnes Saint-Chamond, 1917, sur chars-français.net.

 

AS34StChamondM1AsTxn6251401c

 

Char_St_Chamond_tank

 

st-chamond-25t_01

 

st-chamond-25t_02

 

Char d'Assaut Saint Chamond

 

Char Saint Chamond

 

Char Saint Chamond,1916, jouet mécanique

 

 Les archives municipales de Saint-Chamond possèdent une réplique de ce jouet mécanique.

 

 

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22 juillet 2015

fin des nids et des cris de corbeaux au Garat

 

élagage Garat juillet 2015

 

 

mesures salutaires contre les corbeaux :

élagage dans la cité du Garat

 

élagage Garat juillet 2015
fin juillet 2015, le sommet des arbres a été élagué, là où gîtaient des dizaines de nids de corbeaux

 

Cela faisait des années que la volatile avait élu domicile au sommet des arbres de cette cité. Ces grands corbeaux (corvus corax) sont très bruyants, poussant sans cesse des cris d'alarme et de défense du territoire, des cris haut-perchés et rauques "praak-praak" lancés en tournoyant au-dessus de leurs nids.

Je me suis toujours demandé comment pouvaient le supporter les habitants de la cité qui les avaient sous leurs fenêtres... Pour ma part, j'avais alerté par courrier les services de la mairie il y a quelques années, puis oralement il y a quelques mois. En avril 2012, un responsable de la mairie m'avait expliqué qu'ils intervenaient quand les riverains se plaignaient.

Une opération avait eu lieu en mars 2013 pour défaire les nids. Mais il n'a pas fallu longtemps aux corbeaux pour les reconstituer puisque les fourches des branches hautes avaient été laissées en place.

En tout cas, merci à ceux qui ont pris une décision si longtemps attendue ! On va pouvoir de nouveau ouvrir nos fenêtres pour entendre les merles chanter...

Michel Renard

 

 

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18 septembre 2015

place de la Liberté, marché

place de la Liberté enfants

 

 

place de la Liberté, marché

 

 

place de la Liberté marché postée en 1908
marché, place de la Liberté, carte postée en 1908

 

place de la Liberté marché pittoresque
le marché, place de la Liberté, "La Loire pittoresque"

 

place de la Liberté marché vue de haut
quelques étals sur la place de la Liberté

 

place de la Liberté où se tient le marché
enfants sur la place de la Liberté, un jour sans marché (fin XIXe ou début XXe siècle)

 

marché, cp postée en mai 1991
un étal de légumes sur la place de la Liberté à la fin des années 1980 (carte postée en mai 1991)

 

boucherie Despi juillet 2008 (1)
les magasins "Brasserie de l'époque" et "Despinasse", trent ans après... (Google Street, juillet 2008)

 

boucherie Despi juillet 2008 (2)
les magasins "Brasserie de l'époque" et "Despinasse", trent ans après... (Google Street, juillet 2008)

 

 

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16 novembre 2015

rassemblement pour les victimes du 13 novembre 2015

rassemblement lundi 16 nov 2015 (6)

 

 

rassemblement

pour les victimes du 13 novembre 2015

devant la mairie de Saint-Chamond,

lundi 16 novembre vers midi

 

La mairie avait appelé à un rassemblement le lundi 16 novembre à 12 h 00 devant l’hôtel de ville pour une minute de silence et un hommage solennel aux victimes des attentats du 13 novembre. Le maire a fait lire un message par M. Cadegros, maire-adjoint. Une minute de silence a ensuite été observée, puis La Marseillaise retentit.

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (1)
lundi 16 novembre 2015, mairie de Saint-Chamond

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (2)
le message déposé par Abdelkader Zennaf

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (3)
lundi 16 novembre 2015, mairie de Saint-Chamond

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (4)
Régis Cadegros, maire-adjoint lit le message du maire Hervé Reynaud

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (7)
lundi 16 novembre 2015, mairie de Saint-Chamond, après La Marseillaise

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (8)
lundi 16 novembre 2015, mairie de Saint-Chamond, après la minute de silence et La Marseillaise

 

rassemblement lundi 16 nov 2015 (9)
lundi 16 novembre 2015, mairie de Saint-Chamond, après la minute de silence et La Marseillaise

 

 

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10 juillet 2011

carrefour vital ?

 carrefour vital photo finale

 

un carrefour qui résume la vie ?

 

Le carrefour qui résume une vie, à l'angle des rues Victor-Hugo et Dugas-Montbel à Saint-Chamond... : la vie, la médecine, la mort... et les impôts...! Étrange proximité spatiale...

 

hôpital 10 juillet 2011
l'hôpital : on y naît et on y meurt, généralement...

pharmacie 10 juillet 2011
...entre temps, on aura eu besoin de médicaments...

Pompes funèbres 10 juillet 2011
...quand les médicaments n'auront plus d'effets, il ne restera
qu'à souscrire une sépulture aux Pompes Funèbres...

Centre impôts 10 juillet 2011
...sans oublier de s'être acquitté, pendant des années,
du versement de multiples impôts à l'État...

 

carrefour vital photo finale
le carrefour, à l'angle des rues Victor-Hugo et Dugas-Montbel

 

carrefour V-H D-M
le carrefour, le 11 juillet 2011

 

Que manque-t-il ? L'école, bien sûr... la Mairie pour s'y marier, le Tribunal pour divorcer... quelques commerces pour vivre, un jardin public pour lézarder quand il fait beau ou écouter de la musique en juin... et voilà le tour est joué.

 

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2 mai 2015

Stéphane Bertholon (1862-1931)

couv new

 

 

Stéphane Bertholon (1862-1931)

historien de Saint-Chamond, éléments biographiques

par Michel Renard

 

En 1927, Stéphane Bertholon fit paraître cet ouvrage, en partie composé d'anciens articles parus dans La Croix de Saint-Chamond depuis de nombreuses années mais aussi d'instructifs souvenirs : Histoires de Saint-Chamond (éd. Saint-Étienne, impr. Théolier).

Il a été réédité par l'association des Amis du Vieux Saint-Chamond en 1989.

 

 page titre originale
la page de titre du livre de Stéphane Bertholon, paru en 1927

 

Quand j'ai cherché à savoir qui était Stéphane Bertholon, je n'ai rien trouvé sous ce nom. L'état civil, les recensements, les registres matricules militaires... restaient tous muets. Le patronyme, certes, était porté par plusieurs familles, à Saint-Chamond, à Saint-Martin-en-Coailleux, à Izieux. Mais pas de Stéphane.

Et pourtant, dans son livre, Stéphane Bertholon fournissait cette précision : "né à Saint-Chamond et y ayant passé à peu près toute ma vie..." (p. XIV). Il notait aussi avoir été chef de la "Philharmonique" de la ville à partir de 1889 (p. 195).

Aileurs, il livrait un souvenir personnel lié au 11 novembre 1918 : "Cela me rappelle la plus forte émotion que j'ai éprouvée de ma vie. Je me trouvais sur une hauteur qui domine Saint-Chamond, entre le Coin et La Renaudière, au moment où éclata dans tous les clochers, le carillon d'allégresse qui annonçait la victoire. On entendait, à la fois, les cloches de Saint-Julien, de Saint-Pierre, de Notre-Dame, de Saint-Ennemond, d'Izieux, de Saint-Martin, et l'on percevait même aussi les sons des clochers plus lointains, le tout ponctué par la grande voix du canon placé à la Grand'Grange. C'était absolument merveilleux, grandiose, sublime et émotionnant au possible ! Jamais on n'avait rien entendu de pareil" (p. 240).

 

La Renaudière (1)
La Renaudière sur le territoire de Saint-Martin-en-Coailleux (auj. Saint-Chamond) :
Stéphane Bertholon se trouvait à proximité quand il entendit les carillons du 18 novembre 1918

 

Stéphane Bertholon était bien saint-chamonais. Le responsable des Amis du Vieux Saint-Chamond, Alain Rivory, m'indiquait même : "mon oncle, décédé en 1996, à l'âge de 84 ans, l'avait connu car il habitait la Croix-Raisin" ; Bertholon est mort en 1931.

 

Étienne "Stéphane"

J'ai formulé l'hypothèse que son prénom "Stéphane" pouvait être un nom de plume, ou un usage qu'il avait adopté puis conservé publiquement. "Stéphane" n'était quasiment pas attribué à l'époque.

Par contre, on sait que l'altération linguistique de ce prénom a formé "Étienne" ; d'où la gentilité de Stéphanois donnée aux habitants de Saint-Étienne. Ainsi, le prénom de notre écrivain pouvait bien avoir été Étienne. Un indice était fourni par le travail d'un généalogiste qui mentionnait Stéphane Bertholon (1862-1931), époux de Mathilde Balas.

En examinant à nouveau l'état civil de Saint-Chamond, j'ai trouvé la naissance d'Étienne Antoine Marien Bertholon le 10 juillet 1862, au domicile conjugal de ses parents :

- Joseph Bertholon, moulinier en soie, 29 ans et demi (décédé le 18 janvier 1888) et
- Jeanne Marie Vigier, moulinière en soie, 21 ans et demi (décédée le 28 janvier 1896).

Ces derniers se sont mariés le jeudi 4 juillet 1861 à Saint-Chamond ; Joseph Bertholon habitait place de la Halle.

 

mariage parents Stéphane Bertholon (1)

mariage parents Stéphane Bertholon (2)
acte de mariage de Joseph Bertholon et Jeanne Marie Vigier, parents de Stéphane B., le 4 juillet 1861

 

Stéphane Bertholon s'est marié, en seconde noce, à Saint-Chamond, le samedi 23 octobre 1897, à l'âge de 35 ans, avec Marie Mathilde Balas, âgée de 29 ans, née le 17 mai 1868 à Saint-Chamond et demeurant à Saint-Martin-en-Coailleux. Il est mort en 1931.

Stéphane (Étienne) Bertholon mesurait 1 m 60. Il avait les cheveux et les sourcils blonds, les yeux bleus ; son front était rond, son nez petit et sa bouche petite, comme l'indique sa fiche matricule de 1882.

 

fiche matricule signalement
la case "signalement" de la fiche matricule de Stéphane Bertholon en 1882

 

Nous ne possédons pas de photo de lui. Mais le personnage figurant sur une carte postale ancienne datant de 1907 pourrait être Stéphane Bertholon...

 

portrait de SB en 1907
Stéphane Bertholon en 1907 ?

 

Stéphane Bertholon et la musique

Stéphane Bertholon a été musicien toute sa vie. Il a dû commencer assez jeune, sans que l'on sache comment. Mais, lors de son service militaire il fit partie des "élèves musiciens" du 36e régiment d'Artillerie de Clermont-Ferrand de décembre 1883 à février 1885 ; puis il fut affecté au 16e régiment d'Artillerie, dans la même ville, comme "soldat musicien", jusqu'en septembre 1887.

En 1889, il devient chef de la Philarmonique à Saint-Chamond.

Dans son livre, on trouve le récit suivant, extrait du passage consacré aux "Cinquante premières années de la Symphonie" à Saint-Chamond :

- "À la suite du départ de M. Coste [1889], la Société fut de nouveau dans un grand embarras. Où prendre un directeur ?
On ne trouva rien de mieux que de s'adresser à un jeune concitoyen, M. Stéphane Bertholon, qui venait d'achever, comme organiste, des études musicales assez complètes. Il consentit à prendre la direction «provisoirement», en attendant que l'on en trouvât un plus digne, et ce provisoire dura trente et un ans, car le nouveau chef, gagné par le bon esprit de cordialité qui, plus encore que la question musique, faisait le charme de la Société, s'y attacha de tout coeur et l'amena rapidement à une certaine force.
Il faut dire qu'il fut très efficacement secondé par un sous-chef qui, depuis les premières années de la Société, en était devenu l'âme : M. J. Blanchet, aidé lui-même de son ami Marius Tardy, fut toujours la cheville ouvrière de la Symphonie.
Quoi qu'il en soit, on fit du bon travail, s'attachant d'abord à la bonne musique classique, et l'on donna d'intéressantes auditions, soit comme concerts, soit en participation aux solennités organisées par les autres sociétés ou par des oeuvres diverses.Vincent d'Indy
En 1898, la ville de Roanne ayant organisé un grand concours musical ouvert aux orchestres, la Symphonie de Saint-Chamond eut l'idée d'y prendre part pour se créer un classement. Elle s'y présenta en première division, en concurrence avec la Symphonie de Tarare, et obtint deux premiers prix et un second, avec les félicitations de Vincent d'Indy [photo ci-contre], qui présidait son jury. (...)
La période de 1900 à 1912 est peut-être celle qui marqua l'apogée de la Société. À partir de cette époque, le zèle diminua et on se ressentit de la concurrence des Sociétés sportives, qui devaient dans la suite faire tant de tort à l'art musical. Cependant l'entrain était encore très satisfaisant lorsque éclata la grande guerre, huit jours après un dernier concert donné au Jardin public, le soir du 23 juillet 1914." (p. 207-209).

 

La Philharmonique 1907
Char de la Philharmonique à la Cavalcade du 30 juin 1907 à Saint-Chamond ;
l'homme semblant accompagner le char
est peut-être Stéphane Bertholon

 

Jardin public kiosque St-Chamond
musique donnée au kiosque du Jardin public à Saint-Chamond, début des années 1900

 

Roanne 1908 (1)
Grand Concours Musical international de Roanne, 15-16 août 1908
(la Philharmonique de Saint-Chamond y fut primée dans l'édition de 1898 dont le jury était présidé par Vincent d'Indy)

 

Roanne 1908 (2)
Grand Concours Musical international de Roanne, 15-16 août 1908 ; défilé des Sociétés de Tarare

 

Parallèlement, Stéphane Bertolon compose des morceaux qui sont publiés.

En 1898, il écrit une "valse gracieuse pour piano" intitulée Chatteries. En 1901, Rêverie pour piano et Chiffonnette, une polka.

 

Chatteries valse gracieuse couv
Chatteries, valse gracieuse pour piano, de Stéphane Bertholon, 1898

 

Rêverie pour piano
Rêverie pour piano, de Stéphane Bertholon, 1901

 

Chiffonnette polka
Chiffonnette, polka, 1901

 

 

Stéphane Bertholon et l'armée

 

Né en 1862, Stéphane Bertholon, connu civilement sous le prénom d'Étienne, est recensé en 1882. Il est déclaré "propre au service". Nous ignorons pourquoi il n'effectue pas la totalité des 5 ans prévus par la loi Cissey de 1872.

Toujours est-il que sa fiche matricule nous renseigne sur son parcours militaire du 2 décembre 1883 au 20 septembre 1887, date de son envoi en congé de l'armée.

 

fiche matricule (1)
fiche matricule de Stéphane (Étienne) Bertholon né en 1862 et incorporé en 1883

 

fiche matricule (2)
fiche matricule de Stéphane (Étienne) Bertholon né en 1862 et incorporé en 1883

 

fiche matricule (3)
fiche matricule de Stéphane (Étienne) Bertholon né en 1862 et incorporé en 1883

 

Il passe environ quinze mois au 36e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), du jour de son arrivée au Corps, le 2 décembre 1883, à fin février 1885.

Il est canonnier servant, c'est-à-dire simple soldat affecté à une pièce d'artillerie. Mais il est noté comme faisant partie des "élèves musiciens" dès cette époque.

 

caserne 36e (1)
caserne du 36e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Desaix, début XXe siècle ;
Stéphane Bertholon y passa quinze mois, de décembre 1883 à février 1885

 

caserne 36e (2)
caserne du 36e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Desaix, début XXe siècle ;
Stéphane Bertholon y passa quinze mois, de décembre 1883 à février 1885

 

caserne 36e (3)
caserne du 36e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Desaix, début XXe siècle ;
Stéphane Bertholon y passa quinze mois, de décembre 1883 à février 1885

 

Le 27 février 1885, il change de régiment pour le 16e régiment d'Artillerie, toujours à Clermont-Ferrand. Il est "soldat musicien". Il y reste trente mois.

De ces longues années militaires, nous ne disposons d'aucun souvenir, d'aucune mention. Ce qui est certain, c'est que Stéphane Bertholon y a pratiqué la musique.

 

16e Artillerie (1)
caserne du 16e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Gribeauval, début des années 1900 ;
Stéphane Bertholon y passa trente mois, de février 1885 à septembre 1887

 

16e Artillerie (2)
caserne du 16e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Gribeauval, début des années 1900 ;
Stéphane Bertholon y passa trente mois, de février 1885 à septembre 1887

 

16e Artillerie (3)
caserne du 16e régiment d'Artillerie à Clermont-Ferrand, quartier Gribeauval, début des années 1900 ;
Stéphane Bertholon y passa trente mois, de février 1885 à septembre 1887

 

 

Stéphane Bertholon à Saint-Chamond et ses environs


Si la musique occupait une grande partie de sa vie, Stéphane Bertholon était de profession "fabricant de tissus" ou "industriel en soie".

Il appartient à la Confrérie des passementiers et a même détenu la charge de syndic en 1894 et 1895 (voir p. 95-98 de son livre).

Dans l'Annuaire industriel et commercial de 1908, il est enregistré comme seul élément de la catégorie "entrepreneur, condition des soies", au n° 16 de la rue de la République.

À cet emplacement, les bâtiments ont aujourd'hui disparu : les numéros 16 et 18 de la rue de la République correspondent désormais à un parking assez laid.

 

16 et 18 rue République en 2015 parking
l'espace des numéros 16 et 18 de la rue de la République, sans édifice, a fait place à un parking

 

En 1901, il habite au n° 6 de la rue Réclusière, avec son épouse et trois enfants : l'un de son premier mariage et les deux plus jeunes de son second mariage.

 

recensement 1901 rue Réclusière
recensement de 1901, la famille Bertholon au n° 6 de la rue Réclusière

 

En 1911, Stéphane Bertholon n'habite plus Saint-Chamond mais Saint-Julien-en-Jarez, route Nationale. Le fils du premier mariage, Georges, est présent et on apprend qu'il est ajusteur chez Rafer (rue du Port-Sec à Saint-Chamond). Les quatre autres enfants sont tous scolarisés.

 

recensement 1911 Saint-Julien-en-Jarez
recensement de Saint-Julien-en-Jarez, route Nationale, 1911

 

* liste des domiciles connus de Stéphane Bertholon (on ignore les dates de changement de l'un à l'autre) :

- 1862 (à sa naissance) : Saint-Chamond, place de la Halle (acte naissance).

- 1891 : Saint-Chamond, rue de la République, 46 (sur le recensement).

- 1892 : Saint-Chamond, rue Barra (sur l'acte de mariage).

- 1893 et 1896 : Saint-Chamond, rue William Neyrand, 7 (état civil).

- 1899 et 1906 : Saint-Chamond, rue Réclusière, 6 (état civil).

- 1901 : rue Réclusière, 6 (recensement).

- 1911 : Saint-Julien-en-Jarez, route Nationale (recensement).

- 1931 : Saint-Martin-en-Coailleux (acte de décès).

 

 

le premier mariage et les trois enfants de Stéphane Bertholon

L'auteur des Histoires de Saint-Chamond, l'industriel de la soie et le passionné de musique eut sept enfants de deux mariages.

Il épousa d'abord Jeanne Marie Gladie Besson, née le 18 février 1872 à Saint-Martin-la-Plaine (Loire). Le mariage eut lieu le 29 septembre 1892 à Rive-de-Gier. Stéphane Bertholon habitait alors rue Barra à Saint-Chamond.

 

Besson Jeanne acte naissance
acte de naissance de Jeanne Besson, le 18 février 1872, première épouse de Stéphane Bertholon

 

mariage Bertholon avec Besson 29 sept 1892
premier mariage de Stéphane Bertholon : avec Jeanne Besson, à Rive-de-Gier, le 29 septembre 1892

 

De cette union naquit un garçon, Georges Joseph Louis Marius, le jeudi 20 juillet à huit heures au domicile conjugal, le numéro 7 de la rue William Neyrand à Saint-Chamond.

 

Georges Bertholon naissance 1893
acte de naissance de Georges Bertholon, premier fils de Stéphane Bertholon, en 1893

 

Un deuxième garçon vit le jour le 30 septembre 1894 : Pierre François Charles.

 

Bertholon Pierre François Charles 1894
acte de naissance de Charles Bertholon, deuxième fils de Stéphane Bertholon, en 1894

 

Un troisième garçon naquit le 15 janvier 1896 : Léon Clément Paul, le mardi 14 janvier 1896.

 

Bertholon Léon 1896
acte de naissance de Léon Bertholon, troisième fils de Stéphane Bertholon, en 1896

 

Jeanne Besson, épouse Bertholon, est décédée le 28 janvier 1896 à onze heures à son domicile, rue William Neyrand. Elle avait 24 ans. Nous ignorons la cause de sa mort. La proximité avec la naissance de son troisième enfant est peut-être un indice...

 

décès Jeanne Besson 1896
décès de Jeanne Besson, première épouse de Stéphane Bertholon, le 29 janvier 1896

 

n° 7 rue William Neyrand 7 mai 2015
l'immeuble du n° 7 de la rue William Neyrand (7 mai 2015)

 

Qu'est-il advenu des deux plus jeunes garçons de Stéphane Bertholon (Charles et Léon) ? En 1901, à une date où ils étaient âgés de 6 et 5 ans, ils n'apparaissent pas sur le recensement comme vivant avec leur père.

Il est aisé d'imaginer que ce dernier ne pouvait assumer, seul, la charge éducative de trois enfants en bas âge. Les deux plus jeunes furent donc placés chez des parents proches.

Ainsi, dans le recensement de 1901, on retrouve la trace de Charles (6 ans) vivant avec sa grande-tante, Clémentine Besson (50 ans), et avec le neveu de celle-ci (Pierre Besson, 31 ans) à Saint-Martin-la-Plaine où était née sa mère.

 

Charles Bertholon 6 ans en 1901 Saint-Martin-la-Plaine
Charles Bertholon, 6 ans, à Saint-Martin-la-Plaine, chez sa grande-tante, en 1901

 

Saint-Martin-la-Plaine (1)
Saint-Martin-la-Plaine où grandit Charles, l'un des fils de Stéphane Bertholon après la mort de sa mère

 

Saint-Martin-la-Plaine (2)
Saint-Martin-la-Plaine où grandit Charles, l'un des fils de Stéphane Bertholon après la mort de sa mère

 

 

le deuxième mariage et les quatre enfants de Stéphane Bertholon

 

Comme évoqué plus haut, le samedi 23 octobre 1897, Stéphane Bertholon épousa, en seconde noce, Marie Mathilde Balas.

Mathilde Balas était la fille d'un fabricant de lacets ; ses deux frères étaient ingénieurs. Ils habitaient quartier de la Croix-Raisin à Saint-Martin-en-Coailleux (auj. Saint-Chamond).

 

Balas Mathilde en 1891
la famille Balas sur un extrait du recensement de Saint-Martin-en-Coailleux en 1891

 

mariage avec Balas 1897 (1)
mariage de Stéphane Bertholon, avec Mathilde Balas le 23 octobre 1897

 

mariage avec Balas 1897 (2)
mariage de Stéphane Bertholon, avec Mathilde Balas le 23 octobre 1897

 

Le Stéphanois 2 nov 1897
Le Stéphanois, 2 novembre 1897, état civil

 

Leur premier enfant fut un garçon, prénomé Henri Léon Marie, né le vendredi 3 février 1899, au domicile conjugal, rue de la Réclusière, numéro 6. Il se maria le 26 septembre 1924 à Annecy (Haute-Savoie) avec Marcelle Stéphanie Propère Fournier. Il décéda le 15 novembre 1974 à Annecy.

 

Henri Bertholon 1899-1974
acte de naissance à Saint-Chamond d'Henri Bertholon (1899-1974)

 

En 1900, une fille naquit le samedi 21 juillet à l'heure de minuit au domicile conjugal, rue de la Réclusière, numéro 6 : Marie Juliette Catherine, Marthe. Elle se maria le 21 juillet 1922 (le jour anniversaire de ses 22 ans) avec Louis Germain à Saint-Martin-en-Coailleux. Elle décéda le 11 octobre 1980 à Saint-Marcellin (Isère).

 

Marie Bertholon naissance 1900
acte de naissance à Saint-Chamond de Marie Bertholon (1900-1980)

 

Les deux époux eurent ensuite un garçon Paul Marie Victor, né le samedi 2 avril 1902 à trois heures du jour (du matin) à Saint-Chamond, toujours au domicile conjugal, au numéro 6 de la rue Réclusière. Il serait décédé en 1925.

 

Victor Bertholon naissance 1902
acte de naissance à Saint-Chamond de Victor Bertholon (1902-1925)

 

Enfin, une fille naquit le mercredi le mardi 4 septembre 1906, Jeanne Marie Germaine, dans la même maison que précédemment. Elle se maria le 23 juillet 1949 avec Constant Antoine, Henri Marie Cornet à Nuits-Saint-Georges (Côtes d'Or).

 

Germaine Bertholon 1906
acte de naissance à Saint-Chamond de Germaine Bertholon (1906-1964)

 

 

la mort de Stéphane Bertholon en 1931

 

décès Stéphane Bertholon 1931
acte de décès de Stéphane Bertholon, le 16 février 1931 à Saint-Martin-en-Coailleux

 

Stéphane (Étienne) Bertholon est décédé, à son domicile, le lundi 16 février 1931 à dix-sept heures trente, sur le territoire de Saint-Martin-en-Coailleux, route du Coin, à l'âge 68 ans.

Il a connu le décès de sa première épouse (Jeanne Besson, à l'âge de 24 ans), et celui d'un des fils de son second mariage (Victor, à l'âge de 23 ans). Sa deuxième épouse (Mathilde Balas), est décédée le 8 octobre 1939 à Condrieu (Rhône).

Il n'a guère laissé de souvenirs publics dans la commune à laquelle il a pourtant beaucoup donné : direction de la société musicale La Philarmonique pendant trente-et-un ans, rédaction d'un livre d'histoire locale toujours utile.

 

Stéphane Bertholon et l'histoire de Saint-Chamond

 

couv originale
édition originale d'Histoires de Saint-Chamond
de Stéphane Bertholon (1927)

 

L'ouvrage de Stéphane Bertholon (1927) est assez composite, mêlant des exposés fouillés, souvent publiés sous forme d'articles entre 1906 (sujets religieux) et 1923 dans La Croix de Saint-Chamond, nous l'avons dit ; mais aussi des études - pas toujours sourcées - sur divers aspects de la vie politique, économique et sociale de la ville ; des témoignages et des citations, parfois longues mais utiles, d'autres auteurs dont Ennemond Richard (1806-1873) par exemple, pour ses Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, ouvrage paru en 1846 et réédité en 1986 par les Amis du Vieux Saint-Chamond.

Cet ouvrage est précieux par son ambition de fournir un tableau global du passé de Saint-Chamond. Il recèle des évocations qui ne peuvent être que celles d'un témoin du temps, ressuscitant une atmosphère disparue.

Évidemment, il ne répond pas aux canons de l'historiographie savante, s'appuyant sur des archives, comme l'universitaire de Los Angeles, Elinor Accompo, a pu le faire, en 1989, dans Industrialization, Family Life, and Class Relations : Saint Chamond, 1815-1914 (voir ici). Mais la lecture de Stéphane Bertholon est toujours instructive.

 

table des matières
table des matières du livre Histoires de Saint-Chamond
de Stéphane Bertholon (1927)

 

préface (1)
préface du livre Histoires de Saint-Chamond
de Stéphane Bertholon (1927)

 

préface (2)
préface du livre Histoires de Saint-Chamond
de Stéphane Bertholon (1927)

 

 

Michel Renard
professeur d'histoire

Michel retour lycée 3 oct 2012

 

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12 mars 2015

accident à Saint-Chamond - 12 mars 2015

accident 12 mars 2015 (6)

 

 

accident sous le pont de la gare

à Saint-Chamond

 

Ce jeudi 12 mars, vers midi, s'est produit un accident sous le pont de la gare de Saint-Chamond. Un camion porteur de la société Rodis s'est encastré sous le tablier du pont dont la hauteur est limitée à 3 m 40.

Le déflecteur est passé mais la charpente supérieure du véhicule tracté a heurté violemment la poutre du tablier, stoppant net le camion et endommageant les parois de la remorque qui se sont pliées en accordéon. Les pneus ont éclaté.

Vers 12 h 20, une dépanneuse était à l'oeuvre tentant de treuiller le camion accidenté.

La circulation était interrompue dans les deux sens par les fonctionnaires de la police nationale et de la police municipale.

Michel Renard

 

accident 12 mars 2015 (1)
le camion accidenté, 12 mars à 12 h 25 © M.R.

 

accident 12 mars 2015 (2)
le camion accidenté, 12 mars à 12 h 25 © M.R.

 

accident 12 mars 2015 (3)
la dépanneuse en action © M.R.

 

accident 12 mars 2015 (4)
le camion accidenté, 12 mars à 12 h 25 © M.R.

 

accident 12 mars 2015 (5)
la partie supérieure de la remorque, 12 mars à 12 h 25 © M.R.

 

accident 12 mars 2015 (6)
le camion accidenté, 12 mars à 12 h 25 © M.R.

 

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29 mars 2015

résultats des élections départementales 22 et 29 mars 2015

panneaux affichage (1)

 

 

élections départementales du canton

de Saint-Chamond

dimanche 22 et dimanche 29 mars 2015

 

 

1) les candidats

Binômes des candidats du canton de Saint-Chamond

Mme Catherine BONY
M. Jean-Pierre RAMETTI
Verts
Mme Solange BERLIER
M. Hervé REYNAUD
Divers Droite
M. Franck DESCOURS
Mme Valérie FELIX
FN
Mme Michelle GALLAND
M. Stéphane VALETTE
Socialistes
M. Jean Pierre DE PASQUALE
Mme Aimée MURASZKO
 Front de Gauche 

 

panneaux affichage (2)
panneaux d'affichage des candidats à Saint-Chamond, élections des 22 et 29 mars 2015

Le canton de Saint-Chamond se compose, depuis la réfome de 2014, de 2 communes : Saint-Chamond et L’Horme.

 

2) le scrutin du 22 mars 2015 : 1er tour

 

bureau vote n° 7
le bureau de vote n° 7 à l'Hôtel-Dieu

 

bureau vote n° 8
le bureau de vote n° 2 à l'Hôtel-Dieu, avec Jean-Luc Degraix, maire-adjoint de Saint-Chamond

 

machine à voter (1)
machine à voter

 

machine à voter (2)
machine à voter

 

2) les résultats du 22 mars 2015

 

Solange BERLIER et Hervé REYNAUD (Divers Droite) : 3668 voix - 40,02%

Franck DESCOURS et Valérie FÉLIX (FN) : 2643 voix - 28,83%

Michelle GALLAND et Stéphane VALETTE (PS) : 1627 voix - 17,75%

Jean-Pierre DE PASQUALE et Aimée MURASZKO (Front de Gauche/PCF) : 633 voix - 6,91%

Catherine BONY et Jean-Pierre RAMETTI (Verts) : 595 voix - 6,49%

* participation : 39,95% (national : 51%)

 

résultats 1er tour
contrairement à l'indication de titre, les résultats sont définitifs
(mais on peut utiliser ce terme qu'après 20 h)

 

 

3) le scrutin du 29 mars 2015 : 2e tour

Les candidats restant en lice sont donc les binômes Solange BERLIER et Hervé REYNAUD (Divers Droite) et Franck DESCOURS et Valérie FÉLIX (FN).

Le PS est éliminé puisqu'il n'atteint pas les 12,5% des électeurs inscrits.

 

machine à voter 29 mars 2015 (1)
machine à voter, 29 mars 2015

 

machine à voter 29 mars 2015 (2)
machine à voter, 29 mars 2015

 

Bureau de vote n°7 29 mars 2015 (1)
le bureau de vote n° 7 à l'Hôtel-Dieu

 

Bureau de vote n°2 29 mars 2015 (1)
le bureau de vote n° 2 à l'Hôtel-Dieu, avec Jean-Luc Degraix, maire-adjoint de Saint-Chamond

 

Bureau de vote n°2 29 mars 2015 (2)
le bureau de vote n° 2 à l'Hôtel-Dieu, avec Jean-Luc Degraix, maire-adjoint de Saint-Chamond

 

4) les résultats du 29 mars 2015

 

résultats 29 mars 2015
résultats du 2e tour des élections départementales sur Saint-Chamond, 29 mars 2015

 

- Solange BERLIER et Hervé REYNAUD (Divers Droite) : 6031 voix, 66,85%.

- Franck DESCOURS et Valérie FÉLIX (FN) : 2991 voix, 33,15%.

 

résultats 29 mars 2015 (2)
proclamation des résultats à la mairie de Saint-Chamond vers 19h15

 

 

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