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Saint-Chamond

5 novembre 2012

tombes des soldats morts pour la France

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plaque du Souvenir français

pour le carré militaire

du cimetière de Saint-Chamond

 

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entrée du cimetière de Saint-Chamond, côté droit du portail (5 novembre 2012)

 

- photos individuelles et nominatives des stèles, plaques commémoratives au cimetière de Saint-Chamond.

 

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27 octobre 2012

Émile Alamagny

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Émile Alamagny, industriel du XIXe siècle

 

- article sur le blog des professeurs d'histoire du lycée Claude Lebois à Saint-Chamond : cliquer sur ce lien

 

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19 octobre 2012

la résistance à Saint-Chamond, 1940-1944

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la Résistance à Saint-Chamond

 

Marc et René Fressynet
rue de la République à Saint-Chamond

 

articles

- Souvenirs de la Résistance, dans les rues de Saint-Chamond

- Demande d'internement de la Mme Launay, communiste (1941)

- Reconnaissez-vous ces maquisards ?

 

Diapositive1

 

autres sources

- Le voyage officiel du Maréchal Pétain, chef de l’État Français dans la Loire et la Haute-Loire les 1er et 2 mars 1941 est passé par Saint-Chamond.
Le Nouvelliste de Lyon rapporte qu'aux Aciéries de la Marine de Saint-Chamond, dans le grand hall de l’usine tout le personnel rassemblé fait une ovation enthousiaste au Maréchal et entonne une vibrante Marseillaise.

source

- 10 mai 1943 [erreur, il s'agit de l'année 1944], arrestation à Saint-Chamond d’une cinquantaine de personnes dont toute la famille Cave. 17 sont déportées.

source

- Marie Cave, morte à Ravensbrück quelques jours avant la libération du camp. Elle fut arrêtée avec toute sa famille qui diffusait le journal Défense de la France à Saint-Chamond le 10 mai 1944.

source

- notice biographique sur Marie Cave (1923-1945) dans le livre de Nathalie Forissier :

Marie Cave est née le 20 février 1923. Fille aînée d'une famille commerçante de Saint-Chamond, elle est scolarisée à l'école des jeunes filles de cette ville. Ensuite elle s'inscrit au lycée Honorée d'Urfé à Saint-Étienne où elle passe le baccalauréat.
C'est à cette époque, dès 1940, qu'elle s'engage dans la Résistance. Ses premières activités sont la diffusion de feuillets clandestins : Vérité, Petites Ailes, Combat, Franc-Tireur. Toute la famille Cave participant à ces actes courageux, la maison familiale devient un lieu de rendez-vous et d'asile pour la Résistance. En 1942, Marie rejoint la formation "93" et assure dès décembre 1942 la diffusion du journal clandestin Défense de la France.
En octobre 1943, elle intègre le réseau de renseignements "Alibi" chargé de fournir des renseignements d'ordre militaire, ferroviaire, industriel, économique et politique sur la région regroupant le département de la Loire et les départements limitrophes.
Le 10 mai 1944, la Milice l'arrête avec ses parents et son frère à Saint-Chamond. Considérée comme "terroriste dangereuse" elle est internée à Compiègne puis Romainville.
Le 9 juin 1944, elle est déportée avec sa mère Claudia à Ravensbrück. Son père Claude et son frère Paul âgée de 16 ans sont déportés à Neuengamme.
Affectée au block 41 elle décède quelques mois après son arrivée, en avril, 1945. Ses parents moururent avant elle à la fin de l'année 1944. Seul son frère Paul rentra vivant de déportation.

source

Marie Cave portrait
                     Marie Cave

 

- Marie Cave de Saint-Chamond (18 ans), dont le magasin familial de torréfaction est le dépôt, pour le département, de Défense de la France. Aux dix-mille exemplaires diffusés jusqu'en mai 1944, viennent s'ajouter quelque 1500 fausses cartes d'identité, certificats de travail et autres pièces officielles. Les délégués du M.U.R. de Lyon et de la Loire connaissent bien cette boite à lettres. Fin 1943, Marie Cave intègre un réseau de renseignements dont fait partie justement son amie Renée Peillon. Et puis l'irréparable, l'arrestation, la déportation d'où elle ne revint pas...

source

- Hélène Roederer, étudiante, morte à Ravensbrück à 24 ans. Chez les Roederer de Saint-Chamond, la Résistance fut une affaire de famille. Son père, directeur des Aciéries Navales mit à la disposition de Défense de la France une maison dans la banlieue de Paris. Hélène rejoint Alger et après une formation elle est parachutée en France. Elle est prise avec d’autres maquisards en juin 1944.

source

 

bibliographie

- La déportation dans la Loire, 1940-1944 : le Mémorial des déportés, Nathalie Forissier, éd. Presses universitaires de Saint-Étienne, 2005.

9782862723761_1_75

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liens

- Mémorial de la Résistance et de la Déportation de la Loire, à Saint-Étienne (excellent site) :

 

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18 octobre 2012

maison jaune à Saint-Chamond

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belle maison jaune datant de 1900

 

Photo0638
rue Dugas-Montel à Saint-Chamond (1900)

 

Face ouvragée. Tête de lion sculptée au-dessus de la porte. Date inscrite dans un écusson.

(à suivre)

 

 

 

 

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14 octobre 2012

plaques de rue commémoratives Résistance à Saint-Chamond

Jean Jammot

 

 

souvenirs de la Résistance,

dans les rues de Saint-Chamond

 

Jean Jammot

Photo0615
photo prise le 14 octobre 2012, au 80 rue de la République

 

Jean Jammot

 

 

Jammot (Jean, Émile, Lucien), né le 31 juillet 1920 à Alfortville (Val-de-Marne), décédé le 3 mars 1945 à Fallersleben-Laagberg (Allemagne) : "mort en déportation" (arrêté du secrétaire d'État aux Anciens combattants, 26 janvier 1987).

 

Jean Jammot, note, archives
archives municipales de Saint-Chamond, 6 Hsc 27, Affaires militaires, 1939-1960

 

transcription

Jean Émile Lucien Jammot. Agent du réseau Gallia. Arrêté le jeudi 30 mars 1944 à 8 heures, à l'hôtel du Lion d'Or à Saint-Chamond. Déporté au camp de Fallersleben-Laagberg (Allemagne).
Mort le 3 mars 1945.
Né le 31 juillet 1920 à Alfortville (Seine).
Dernier domicile : Bègles, 4 rue Adrien Nouzarède (Gironde). Mort pour la France.

* les deux camps de Fallersleben pour détenus hommes et femmes, aménagés en 1944, étaient des Kommandos de travail extérieurs du camp de concentration de Neuengamme. (source)

 

Fallersleben-Laagberg
le camp de Fallersleben, à côté de Neuengamme (Allemagne)

 

 

Marc et René Fressynet

Photo0616
photo prise le 14 octobre 2012 au 52 rue de la République

 

Marc et René Fressynet

11 juillet 1944 (1)
photo prise le 12 février 2008

11 juillet 1944 (2)
photo prise le 12 février 2008

 

 

F.F.I. et F.T.P.

 

plaque FFI FTP place de la Liberté 23 février 2017

 

23, place de la Liberté août 2010

 

Plaque apposée au 23, place de la Liberté à Saint-Chamond.

 

 

Paul et Marie Cave

rond-point Cave 1
l'une des trois plaques du rond-point en l'honneur des frère et soeur Cave
(photo prise le 21 octobre 2012)

 

rond-point Cave 2
la plaque la plus ancienne du rond-point en l'honneur des frère et soeur Cave,
qui avait l'avantage de porter la mention "déportés de la Résistance"
(photo prise le 21 octobre 2012)

 

rond-point Cave 3
l'une des trois plaques du rond-point en l'honneur des frère et soeur Cave
(photo prise le 21 octobre 2012)

 - à Saint-Chamond, un rond-point sépare le quai de la Rive (en provenance de L'Horme et de Rive-de-Gier) du boulevard Waldeck Rousseau (qui mène vers Saint-Étienne) tout en permettant l'accès au boulevard François Delay ou à la place de la Halle et à la place Saint-Pierre. Il porte le nom de "rond-point Paul et Marie Cave". Une plaque, un peu abîmée par le temps, précise que ces deux noms sont des "déportés de la Résistance" ; deux autres, plus récentes, occultent cette précision... dommage...

 

_____________________________

 

photos d'autre provenance

 

Joseph Galland

gestap
rue de la Répblique (?) source

 

famille Cave

StChamCave
rue (?) source

 

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14 octobre 2012

rue de l'Armistice

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la petite rue de l'Armistice

 

Photo0614
en descendant la rue de l'Armistice vers la place de la Liberté, le dimanche 14 octobre 2012

 

Joignant la rue Gambetta à la place de la Liberté, dans le sens de sa descente, la rue de l'Armistice n'est pas très longue. Mais elle offre une perspective sur les arbres de la place et les monts du Lyonnais au fond.

 

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14 octobre 2012

cours Adrien Montgolfier

cours Adrien Montgolfier

 

cours Adrien de Montgolfier à Saint-Chamond

 

plaque de rue Cours Adrien Montgolfier
plaque de rue

 

cours Adrien Montgolfier
le long cours Adrien Montgolfier

Pierre Louis Adrien de Montgolfier, fils de Hugues Michel Achille de Montgolfier, fabricant de papier et d'Elisa Victoire Joséphine Sériziat, né au château de la Salle, Les Ardillats près de Beaujeu (Rhône) le 6 novembre 1831, mort à St-Chamond le 23 janvier 1913. Arrière-petit-neveu de Joseph et Etienne, polytechnicien, ingénieur des Ponts et Chaussées.
Adrien de Montgolfier épouse Elisabeth, la fille de Jean Claude Verpilleux, le 10 novembre 1858 à Rive-de-Gier.
Il termine, après Conte-Granchamp, la construction du barrage du Gouffre d'Enfer entre 1861 et 1866. L'ingénieur en chef de cette construction était Auguste Graeff.
Député de la Loire du 8 février 1871 au 7 mars 1876, sénateur de la Loire du 30 janvier 1876 au 4 janvier 1879. Il fut Préfet d
e la Loire par intérim pendant quelques jours après l'assassinat d'Henri de l'Espée lors des événements de la Commune à Saint-Étienne.
Il est surtout connu à Saint-Chamond pour avoir dirigé les Hauts fourneaux, forges et aciéries de la Marine de 1874 à 1903 environ. Il en est resté administrateur jusqu'à sa mort. Président de la chambre de commerce de Saint-Étienne de 1888 à 1908. Commandeur de la Légion d'honneur.

source

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Adrien de Montgolfier en 1907

 

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4 octobre 2012

tour d'angle arrondi à toiture conique, 1894

1894 St-Cham

 

patrimoine architectural de Saint-Chamond,

1894

À l'intersection des rues Dugas-Montbel, montant vers la gare, et de la Libération (anciennement, avenue de la Gare), se trouve un immeuble en forme de tour à la façade d'angle arrondi prolongée de deux façades latérales le long de ces deux rues.
On trouve une quasi réplique de cet édifice, un peu loin en avant dans la rue de la Libération à l'angle de la rue Richard Chambovet.

La date qui figure au fronton, au-dessus de la magnifique porte bleue en bois ouvragé, porte le millésime 1894.

Ces dernières années, le rez-de chaussée de l'immeuble abritait les services de l'Office du tourisme. Ce n'est plus le cas aujourd'hui.

Photo0566
immeuble d'angle, avenue de la Libération et rue Dugas-Monbel

 

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immeuble d'angle, avenue de la Libération et rue Dugas-Monbel

 

Le bel aspect de ces constructions avait retenu l'attention des carte-postaliers dès avant 1914.

av de la Gare 1

 

av de la Gare 2

 

av de la Gare 3

 

Cette tour d'angle à toiture conique est intrigante... Probablement l'expression d'un style romantique.
Mais je n'ai pas encore identifié l'architecte, concepteur de l'immeuble, ni la destination qui lui était fixée, outre les logements bien sûr.

Michel Renard
professeur d'histoire
au lycée de Saint-Chamond

 

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3 octobre 2012

corbeaux à Saint-Chamond

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hôpital de Saint-Chamond contre les corbeaux ?

 

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L'administration de l'hôpital de Saint-Chamond a-t-elle enfin décidé d'empêcher la nidification des centaines de corbeaux au sommet des arbres nombreux qui entourent l'édifice ? En tout cas, l'extrémité des grands sapins vient d'être étêtée. Une taille salutaire pour un lieu où doit, en principe, régner le silence dû aux malades.

M. R.

 

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21 septembre 2012

avant 1922 et aujourd'hui

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place de la Valette à Saint-Chamond

un siècle de distance, un siècle de permanence...

 

place de la Valette, cpa postée en 1922
carte postale ancienne postée en 1922, donc antérieure, probablement avant 1914

 

place de la Valette 21 sept 2012
vu sous le même angle, le vendredi 21 septembre 2012

La photo de la place de la Valette au début du XXe siècle provient d'une carte postale ancienne envoyée l'année 1922. Il s'agit probablement d'une édition postalière antérieure à la Première Guerre mondiale... Et pourquoi pas en 1912...?
Il y aurait donc un siècle de distance entre ce cliché et l'image que l'on peut fixer aujourd'hui du même endroit. Or, les constructions immobilières sont les mêmes...! Au fond, la bâtisse à deux étages dont le rez-de-chaussée est aujourd'hui la pharmacie.
Ensuite, l'habitat de deux étages également qui accueille désormais, au rez-de-chaussée, deux commerces dont le "Tabac-Presse".
Puis un espace non bâti. Et un autre ouvrage un peu moins élevé mais de deux étages encore. Découverte surprenante, il y a un siècle cet ensemble hébergeait déjà les "Établissements économiques du Casino"...! Aujourd'hui, on trouve encore un "Casino" au même endroit.
Après une sommaire enquête, je sais qu'il y a eu des périodes sans ouverture de commerce... mais cela n'empêche... Cent ans après, "Casino" est toujours là...

Michel Renard
professeur d'histoire

 

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