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Saint-Chamond

25 août 2016

le château de Saint-Chamond, reconstitution 3D par Richard Bonnel

 3D Richard Bonnel (1)

 

 

le château de Saint-Chamond,

reconstitution 3D par Richard Bonnel

 

 

3D Richard Bonnel (1)

 

3D Richard Bonnel (2)

 

3D Richard Bonnel (3)

 

Magnifique reconstitution en graphisme 3D de l'ancien château des seigneurs de Saint-Chamond, par Richard Bonnel. On mesure mieux le volume impressionnant de l'édifice et de son emprise au sol.

 

Richard Bonnel
net caetera informatique

 

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12 août 2016

place Ferréol

place Ferréol 12 août 2016 (3)

 

 

place Ferréol

 

 

plan actuel

 

place Ferréol plan
à l'intersection des rues de la République, Asile-Fournas, de la Charité et Benoît-Oriol
(sur ce plan, le tracé du cours souterrain du Gier n'est pas correct)

 

place Ferréol plan légendé
place Ferrréol, plan légendé

 

 

images anciennes

 

place Ferréol (1)
la place Ferréol peu après 1900 (archives municipales de Saint-Chamond)

 

place Ferréol cpa
place Ferréol avant 1914 ; l'édifice central a aujourd'hui disparu

 

place Ferréol cpa (1)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (2)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (3)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol cpa (4)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol (5)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol (6)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol (7)
place Ferréol avant 1914

 

place Ferréol (8)
place Ferréol avant 1914

 

Cet édifice abritait une école privée. En 1980, il s'agissait de l'école Sainte-Anne (commerce, comptabilité...) selon le témoignage de Fred Bellvue qui raconte que la surveillante, madame Delamare sonnait la fin de la récréation en agitant une cloche de sa main. La directrice était madame Roudon. Sous le porche, se trouvait la salle de sport.

 

 

photos récentes

 

place Ferréol 12 août 2016 (1)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20

 

place Ferréol 12 août 2016 (2)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20

 

place Ferréol 12 août 2016 (4)
place Ferréol, vendredi 12 août 2016 à 10 h 20 ; et le début de la rue Asile-Fournas

 

 

 

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21 mai 2016

ombrelles de lumière à Saint-Chamond

parapluies 21 mai 2016 (2)

 

 

ombrelles de lumière à Saint-Chamond

 

 

 

 

parapluies 21 mai 2016 (1)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (2)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (3)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (4)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (5)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (6)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (7)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (8)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (9)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (10)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (11)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (12)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (13)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (14)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (15)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (16)
rue de la République

 

parapluies 21 mai 2016 (17)
rue Ventefol

 

parapluies 21 mai 2016 (18)
rue Ventefol

 

Michel Renard

 

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20 mai 2016

quelques commerces de la ville de Saint-Chamond

9 mai 2016

deux célébrités couramiaudes

 deux célébrités

 

 

deux célébrités couramiaudes :

Bancel et Barthélémy

 

 

deux célébrités

 

Au verso de cette ancienne carte postale, on trouve la légende suivante : "Deux célébrités couramiaudes : Bancel, roi des pisteurs ; Barthélémy, roi des siffleurs".

 

deux célébrités gros plan

 

Qui pouvaient bien être ces deux personnages ?

J'ai parcouru, une fois de plus, les 489 feuillets du recensement de 1911 et j'ai trouvé quatre familles portant l'un de ces deux noms.

À titre de forte probabilité, je ne retiens pas celui de Victor Barthélémy, né en 1856 et retraité en 1911. Ni celui de Pierre Bancel, né en 1842, rentier possédant un immeuble rue de la République.

Par contre, Louis Bancel, né en 1865, à Lamastre (Ardèche), tailleur d'habits, marié en mars 1892 à Saint-Chamond, pourrait figurer sur la photo.

Ainsi que Edmond Barthélémy, né en 1876 à Marseille, électricien et arrivé tardivement à Saint-Chamond entre 1903 et 1909.

Mais ce sont que des hypothèses. Rien ne permet d'affirmer leur proximité amicale.

Et rien ne dit ce que signifiaient les expressions "pisteur" et "siffleur". Allusion à la chasse au chat dans Saint-Chamond ?

 

Michel Renard

 

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30 avril 2016

Aciéries de la Marine, images d'une destruction (photos et vidéo)

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (27)

 

 

 

Aciéries de la Marine, images d'une destruction

photo-reportage du samedi 30 avril 2016 entre 9 h et 9 h 30

 

 

vidéo

Générations acier Saint Chamond

 

 

photos

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (2)
abord de la halle n° 6, rue Petin-Gaudet ; en réalité, il s'agit du fond du bâtiment

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (3)
le permis de démolir date du 12 février 2013

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (4)
entrée de la halle, détruite depuis quelques jours

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (5)
la halle vue de l'entrée : la toiture a disparu en grande partie

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (6)
convulsion métallique

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (7)
côté droit de la halle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (8)
disgrâce

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (9)
des espaces qui ont perdu toute signification

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (10)
du métal pour détruire le métal

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (11)
côté droit de la halle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (12)
le "B 15"...

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (13)
une vigie aveugle

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (14)
l'espace central de la halle n° 6

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (15)
côté droit de la halle ; au fond, l'entrée détruite

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (16)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (17)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (18)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (19)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (20)
poulie de levage

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (21)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (22)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (23)
l'espace central de la halle avec l'entrée détruite au dernier plan

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (24)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (25)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (26)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (27)
poulie de levage d'une capacité de 16 tonnes

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (28)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (29)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (30)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (31)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (32)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (33)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (34)
briques des murs intérieurs

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (35)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (36)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (37)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (38)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (44)
côté droit

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (45)
éclat du champ de bataille de la démolition

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (46)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (47)

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (48)
la face gauche de la halle, de l'entrée vers son fond rue Pétin-Gaudet

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (49)
halle n° 6, identifiée

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (50)
engin de démolition prêt à reprendre le travail

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (51)
les murs extérieurs encore debout

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (52)
la halle n° 6 le 30 avril 2016

 

Halle 6 samedi 30 avril 2016 (53)
fond de la halle

 

 

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21 avril 2016

le théâtre municipal de Saint-Chamond (1835-1931)

théâtre municipal (3)

 

 

le théâtre municipal de Saint-Chamond

(1835-1931)

 

Sous la monarchie de Juillet, en 1835 (1), un marché couvert appelé "Halle" fut construit par la municipalité à Saint-Chamond. Il devint le Théâtre municipal qui exista pendant presqu'un siècle. En 1931, dans le cadre d'un réaménagement urbain, la municipalité dirigée par Antoine Pinay le fit abattre.

 

théâtre municipal (1)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (2)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (3)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (4)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

théâtre municipal (7)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

place de la Halle gros plan
un coin de la place de la Halle, avant 1914

 

théâtre municipal (8)
le théâtre municipal de Saint-Chamond, place de la Halle au début du XXe siècle

 

L'ancien théâtre est le plus souvent représenté par sa façade vue de la place Saint-Pierre.

C'est un édifice de style classique en forme de temple à deux niveaux. Le premier est composé d'un portique à quatre colonnes et deux pilastres constituant un péristyle. L'étage comporte cinq grandes baies vitrées. Il est surmonté d'un entablement portant l'inscription "Théâtre municipal" et d'un fronton de style dorique percé d'un oculus. Le bâtiment principal est flanqué de deux galeries latérales à arcades en plein cintre.

 

théâtre architecture légendée

 

Une image permet de voir sa longueur et sa face arrière. C'est une vue générale de Saint-Chamond dans sa partie orientale. On y reconnaît la place Saint-Pierre et le côté nord du théâtre.

 

Grand'Grange et place Saint-Pierre vue générale - 1
Saint-Chamond, vue générale, avec le théâtre au centre et la Grand'Grange à gauche

 

théâtre municipal (5)
Saint-Chamond, vue générale, avec le théâtre au centre

 

théâtre municipal vu de dos légendé

 

Le livre de Stéphane Berthon, Histoires de Saint-Chamond (1927), cite longuement le témoignage de Martin Presbitero qui évoque le théâtre en septembre 1860 : "Le soir, il y eut un grand banquet dans la salle du théâtre de la Halle. On avait recouvert les bancs des premières par un plancher raccordé à la scène. La décoration était superbe. Assistaient à ce festin tous les chanteurs et musiciens du matin [fête de la Sainte-Cécile], et beaucoup d'invités. La plupart des sommités de Saint-Chamond y étaient (...)" (p. 173).

En attente de recherches plus détaillées, il ne semble pas que le théâtre de la Halle ait été le lieu de représentations d'art dramatique.

Michel Renard
professeur d'histoire

 

1 - La date de 1835 est fournie par Éric Perrin. James Condamin écrit, en 1890 : "C'est pendant le second quart du XIXe siècle qu'on a construit sur l'emplacement de l'ancienne grenette, la Halle ou marché couvert...". Dans l'ouvrage, de Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond (1927, p. 133), on trouve la date de 1849 (?). À vérifier.

 

 

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16 avril 2016

rue du Pont Saint-Pierre

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (2)

 

 

rue du Pont Saint-Pierre

 

Petite rue qui a perdu de son prestige avec la destruction du pont Saint-Pierre quand le Gier fut couvert. Plus de devantures, plus de véhicules, quelques rares piétons... Et pourtant, en éliminant de l'esprit les laides enseignes publicitaires, on imagine à quoi ressemblait le vieux Saint-Chamond.

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (1)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016

 

place Saint-Pierre années 1940-50
entre la fin des années 1930 et les années 1950

 

place Saint-Pierre années 1960
place Saint-Pierre, années 1960

L'entrée de la rue du Pont Saint-Pierre figure sur quelques cartes postales anciennes et semi-modernes. Oy voit une chapellerie à gauche et l'Alimentation Stéphanoise à droite. Dans les années 1960, cette dernière a une autre enseigne. Un témoin nous dit qu'à gauche, dans les années 1970, se trouvait une agence du Crédit Mutuel.

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (2)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (3)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016 : le gond d'une ancienne porte ?

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (4)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (5)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016 : un accès au Gier souterrain

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (6)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016 : ici, on débouchait sur le pont Saint-Pierre

 

pont Saint-Pierre légendé
confrontation de l'avant et de l'actuel

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (7)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016

 

rue du Pont Saint-Pierre 15 avril 2016 (8)
rue du Pont Saint-Pierre, 16 avril 2016 ; au fond, la place de la Halle

 

 

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14 avril 2016

Saint-Chamond, par Maurice de Boissieu (1889)

dessin de Boissieu (1)

 

 

Saint-Chamond, par Maurice de Boissieu

(1889)

 

Saint-Chamond (Sanctus Annemundus, San Chamou). - Placé au point d'intersection de plusieurs voies antiques (1), Saint-Chamond a-t-il eu pour origine, comme on l'a prétendu, un poste militaire romain ? On ne peut l'affirmer avec certitude. Même obscurité pour le nom sous lequel Saint-Chamond aurait été connu avant de porter le nom du saint martyr lyonnais.

L'aqueduc romain qui conduisait à Lyon les eaux du Gier, et dont nous reparlerons plus au long en nous occupant du village d'Isieu, longe souterrainement et à mi-côte la colline au nord du ruisseau du Janon et de la ville de Saint-Chamond ; il a été récemment rencontré au territoire de Lavieu, par des travaux de défoncement pour vignes dans les propriétés Rossary et Vial.

 

dessin de Boissieu (4)
la maison des chanoines

 

Au Xe siècle, Saint-Chamond appartenait aux comtes de Forez (2).

En 1173, Guy II, comte de Forez, cédait à l'archevêque de Lyon, Guichard, le fief des deux châteaux de Saint-Chamond (3), dont les de Jarez étaient seigneurs.

À ceux-ci succédèrent, au XIIIe siècle, les Durgel Saint-Priest, par le mariage de Josserand Durgel avec Matalone de Jarez, dernière de la race ; au XVIe, les Mitte de Chevrières, par le mariage de Jacques Mitte avec Gabrielle Durgel de Saint-Chamond, en 1577 ; au XVIIe, les La Vieuville, dont l'un, Charles-Emmanuel, épousa en 1684 Marie-Anne Mitte de Chevrières, et enfin, au XVIIIe, les Mondragon qui, en 1768, acquirent des La Vieuville la terre de Saint-Chamond.

Cette seigneurie, qui portait le titre de première baronnie du Lyonnais, avait été érigée en marquisat en 1616.

L'histoire de Saint-Chamond, jusqu'au XVIe siècle, se confond avec celle des seigneurs. Guy de Jarez avait accordé aux habitants, en 1224, leur première charte de franchises : ses successeurs confirmèrent et augmentèrent progressivement les libertés concédées.

Les chroniques des guerres du XVIe siècle dans nos provinces ont retenu les noms de Christophe de Saint-Chamond et de Jacques Mitte de Chevrières ; dans l'histoire du règne de Louis XIII, Melchior de Chevrières, marquis de Saint-Chamond, ambassadeur, ministre d'État et maréchal de camp, est souvent mentionné.

 

dessin de Boissieu (3)
les chanées (gouttières) sur les rives du Gier

 

Les industries qui devaient faire la prospérité de Saint-Chamond y apparaissent dès les premières années du XVIe siècle. On rencontre fréquemment alors dans les registres la qualification de faber, "faure" (ouvrier travaillant le fer), et, de 1530 à 1550, celle de ribanderius, "ribandier".

En 1515, dit-on, l'abbesse de Saint-Pierre de Lyon avait installé à Isieu le premier métier à rubans. En 1537, Saint-Chamond envoyait à Lyon des ouvriers habiles à "devuyder la soye", et, en 1539, Christophe de Crémone et ses fils y transportaient "trois molins à filler et retordre soye, lesquels ils avoient à Saint-Chaumont" (4).

Au XVIIe siècle, grâce à la sécurité désormais assurée, la ville, jusqu'alors groupée sur la colline et enfermée dans les murailles qui la reliaient aux remparts du château, se développa dans la vallée : de nombreux mouliniers s'établirent sur les rives du Gier et l'industrie de la soie prit un grand essor.

C'est alors que la plupart des couvents et des édifices religieux de Saint-Chamond furent fondés, élevés ou restaurés par le seigneur Melchior de Chevrières.

 

dessin de Boissieu (5)
l'église Saint-Pierre et sa coupole, sur les bords du Gier, en 1830

 

L'église Saint-Pierre, qui était, avant 1563, à l'angle nord-est du château, fut bâtie, en 1609, sur l'emplacement de la chapelle de Sainte-Barbe, fondée elle-même, en 1480, par Mathieu Palerne. Le pignon qui surmonte le porche à deux arcades de la façade porte les armes de Melchior Mitte de Chevrières et une longue inscription en son honneur.

Au nord, est le clocher, couvert d'une coupole en métal. Sur la vaste nef plafonnée s'ouvrent onze chapelles voûtées à nervures ; le choeur carré est garni d'une fort belle boiserie ; dans une chapelle à droite sont des reliques insignes, et, dans plusieurs autres, d'anciens tableaux dont un attribué au Giotto ; ces pieux trésors avaient pour la plupart été apportés par Melchior Mitte de Chevrières, au retour d'une de ses ambassades, et donnés par lui à son église collégiale de Saint-Jean-Baptiste.

Celle-ci, que desservait un chapitre de douze chanoines, fut élevée de 1634 à 1642 sur le plan d'une croix latine dont les quatre branches s'arrondissaient en absides, la branche la plus longue formant le choeur. Il n'en subsiste qu'une portion d'abside, ajourée de ligues fenêtres à plein cintre, et l'escalier monumental qui y donnait accès.

L'Hôtel-Dieu de Saint-Chamond reçut en 1616, 1635, 1659, etc., d'importantes fondations. Cet hospice, déjà mentionné dans un acte de fondation de 1561, et en 1580, dans le testament de Christophe de Saint-Chamond, avait remplacé l'hôpital situé sur le pont du Gier et qui est signalé dans des fondations des XIV et XVe siècles, sous le nom d'hôpital de Notre-Dame et ensuite de Saint-Antoine.

Renversée par une crue subite du Gier, l'église de Notre-Dame fut reconstruite, de 1616 à 1622, dans le pré Saint-Antoine. De 1875 à 1881, elle a été rebâtie sur le même emplacement, en style du XIVe siècle, par l'architecte Journoud. Les boiseries remarquables qui garnissaient le choeur de l'édifice du XVIIe siècle ont appartenu à M. Chavanne et ne sont plus en Forez.

 

dessin de Boissieu (8)
église Notre-Dame, dessin de Mme Condamin

 

L'église de Saint-Ennemond, la plus ancienne de Saint-Chamond, qui avait été pillée, dévastée et vendue en 1793, a été rebâtie et ouverte au culte en 1856. Le clocher du XVIIe siècle a été conservé, et au-dessous, sur la porte d'entrée du porche, on lit la date de 1688.

Seul le vieux quartier où s'élève cette église, avec ses rues étroites, raides et tortueuses, ses maisons basses et ses petits jardins en terrasse, rappelle l'ancien Saint-Chamond. Sur les bords du Gier, quelques maisons, dont les balcons en bois menacent ruine, présentent encore dans leur délabrement, un aspect pittoresque.

 

dessin de Boissieu (2)
ancien quartier, démoli dans les années 1880

 

À la montée des Capucins, on longe de grands murs de clôture, seuls restes de l'ancien couvent de ces religieux, construit de 1601 à 1608 et dont l'emplacement est occupé par la maison moderne des religieuses de Saint-Charles. Le couvent des Ursulines, fondé en 1618, n'occupe plus les mêmes bâtiments ; celui des Minimes, qui datait de 1622, a disparu.

 

dessin de Boissieu (1)
à gauche, l'église Saint-Pierre ; à droite, la colline Saint-Ennemond

 

Il reste du vieux château, au-dessous de la maison des Frères de la doctrine chrétienne, d'immenses murs qui ont fait partie des terrasses, et les écuries converties en grande salle de fêtes du pensionnat ; au sommet de la montagne, au fond d'une ruelle, un portail du XVIIe siècle, et, tout près de là, l'angle nord-est du château, paraissant de la même époque et englobé dans des constructions modernes.

De la colline au midi de Saint-Chamond, sur laquelle s'élèvent la gare du chemin de fer et le beau collège des pères Maristes, les regards de l'archéologue et du dessinateur se portent avec intérêt sur ces débris et sur ceux de l'église Saint-Jean-Baptiste situés au-dessous.

Quelques maisons de la Grande-Rue présentent, dans leurs façades et dans les galeries, portes et puits de leurs cours, des spécimens de l'architecture locale des deux derniers siècles, et on peut voir, dans la maison du XVIIe siècle qui porte le n° 49 de la rue Ventefol, un joli portail, un escalier à galeries, sur la porte de cet escalier une imposte en fer forgé et, dans une jolie niche sur le mur de façade, une Piété, groupe en pierre, du commencement du XVIe siècle.

Maurice de Boissieu (1844-1933)
in Le Forez pittoresque et monumental,
par F. Thiollier, Lyon, 1889

Maurice de Boissieu portrait

1 - Guigue, Voies antiques du Lyonnais, p. 74.
2 - La Mure Chantelauze, Histoire des ducs de Bourbon, t. I, p. 56-112.
3 - Ibidem, t. III, p. 28.
4 - V. de Valous, Étienne Turquet et les origines de la fabrique lyonnaise, p. 55.

 

* les dessins proviennent de l'ouvrage dans lequel est publié l'article de Maurice de Boissieu. La photo de celui-ci est tirée du Bulletin de la Diana, tome vingt-quatrième, 1931-1934, Montbrison, 1935, hors-texte, p. 360.

 

dessin de Boissieu (6)
Saint-Chamond, les bords du Janon

 

dessin de Boissieu (7)
Saint-Chamond, les bords du Janon, dessin de Mme Condamin (la légende semble erronée : il s'agit du Gier)

 

transcription et mise en page, Michel Renard

 

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9 avril 2016

les historiens de Saint-Chamond, par Michel Renard

image titre historiens St-Cham

 

 

les historiens de Saint-Chamond

par Michel Renard

 

 

I - travaux historiques

 

1) liste des principaux auteurs

 

  • Ennemond Richard (1806-1873)
  • Jean-Baptiste Boudet (1814-1887)
  • Martin Presbitero (1837-1910)
  • F. Raymond ()
  • Maurice de Boissieu (1844-1933)
  • James Condamin (1844-1929)
  • Gustave Lefebvre (1865-1937)
  • Stéphane Bertholon (1862-1931)
  • François Gonon (1863-1957)
  • Mathieu Fournier (1868-1963)
  • Michael P. Hanagan (né en 1947)
  • Lucien Parizot (1921-2011)
  • Elinor Accampo (née en 1949)
  • Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme
  • Éric Perrin (né en 1965)
  • Gérard Chaperon (né en 1922)

 

 

2) notices bio-bliographiques

 

Ennemond Richard (1806-1873)

Ennemond Richard portrait

Ennemond Richard était un industriel fabricant de lacets.

  • Ennemond Richard, Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, 1846.

 

Ennemond Richard couv

 

 

Jean-Baptiste Boudet (1814-1887)

noavatar

Jean-Baptiste-Michel Boudet, né le 4 octobre 1814 à Saint-Chamond et mort le 29 juin 1887 dans cette même ville, était instituteur (à Feurs, puis au collège de Saint-Chamond).

  • Jean-Baptiste Boudet, Saint-Chamond ou notes et documents sur cette ville, 1854.
  • Jean-Baptiste Boudet, Notes et documents pour servir à l'histoire de Saint-Chamond, 1857.
  • Jean-Baptiste Boudet, Livre de la fondation et establissement de Sainte Chapelle et église collégiale du glorieux Sainct Jean-Baptiste à St-Chamond, copié fidèlement sur le manuscrit original de..., 1859.

En 1884, Gustave Lefebvre enregistrait dans le premier volume du Catalogue alphabétique de la bibliothèque de la ville (de Saint-Chamond) :

manuscrits Boudet catalogue Gustave Lefebvre 1884

Et en 1885, le même Gustave Lefebvre écrivait dans le second volume du Catalogue alphabétique de la bibliothèque de la ville (de Saint-Chamond) :

Gustave Lefebvre sur Boudet 1884-85

 

 

Martin Presbitero (1837-1910)

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Martin Presbitero (parfois orthographié, à tort, Presbytero) est né à Saint-Chamond le 20 octobre 1837 et mort dans cette même ville le 5 avril 1910 (à 72 ans et non à 73 comme le mentionne l'acte de décès). Il était clerc principal de notaire de Me Finaz, notaire. Il était également secrétaire de la fête de la Sainte-Cécile (il existait aussi une Harmonie Sainte-Cécile) à la Grand'Grange, l'école des Frères à Saint-Chamond.

  • Martin Presbitero, Histoire de la Grand'Grange de 1846 à 1882.

 

 

F. Raymond ()

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F. Raymond,

  • F. Raymond, Les hospices de Saint-Chamond : histoire, administration, origines, agrandissements, biens et revenus, d'après les documents conservés dans leurs archives, impr. A. Poméon, Saint-Chamond, 1888.

 

 

Maurice de Boissieu (1844-1933)

Maurice de Boissieu portrait

Ennemond Marie Laurent Maurice de Boissieu, fils de Claude Roch de Boissieu, rentier, est né le 19 mai 1844 à Saint-Chamond et mort à Lyon le 23 mars 1933 (88 ans). Il était archéologue et historien, membre de la Société française d'archéologie, correspondant de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, membre de la Société de la Diana. Il résidait à Lyon, rue Vaubecour, et dans son château de la Doue à Saint-Galmier. En 1872, il se marie avec Hélène Thiollière de l'Isle.

  • Maurice de Boissiau, L'église collégiale de Saint-Jean-Baptiste à Saint-Chamond, son chapitre, ses reliques. Notice historique, accompagnée de pièces justificatives, Librairie ancienne d'Auguste Brun, Lyon, 1880.
  • Maurice de Boissieu, Généalogie de la maison de Saint-Chamond en Forez, Recueil de mémoires et documents sur le Forez publié par la Société la Diana, t. IX, 1888.

 

de Boissieu couv (1)

 

 

James Condamin (1844-1929)

James_Condamin,_1868
  James Condamin en 1868

James Condamin était chanoine, professeur de littérature à la Faculté catholique de Lyon de 1877 à 1926.

  • James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, éd. A. Picard, Paris, 1890, 742 p.

- sur ce blog : "La vie de James Condamin (1844-1929), historien de Saint-Chamond", Michel Renard.

- voir également la page Wikipédia consacrée à James Condamin (c'est moi qui l'ai rédigée, M.R.).

 

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Gustave Lefebvre (1865-1937)

Gustave Lefebvre, 1865-1937

Gustave Lefebvre était conservateur de la bibliothèque de Saint-Chamond (1884-1903), secrétaire de la Société d'études économiques du département de la Loire, membre de la Société historique et archéologique du Forez (Diana).

  • Gustave Lefebvre, La bibliothèque de Saint-Chamond, impr de A. Poméon, Saint-Chamond, 1889, 34 p.
  • Gustave Lefebvre, La vie et les oeuvres de Dugas-Montbel, impr. Poméon, Saint-Chamond, 1889, 109 p.
  • Gustave Lefebvre, 1789-1889. Souvenirs de cent ans. Saint-Chamond et Rive-de-Gier, notes et documents, éd. A. Picard, 1889, 57 p.
  • Gustave Lefebvre, Registre des procès-verbaux de la Société républicaine de Saint-Chamond, avec une introduction et des notes, Lyon/Saint-Étienne, 1890.
  • Gustave Lefebvre, Germain Morel, maître de forges, éd. H. Georg, Lyon, 1890, 55 p.

 

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Dans une lettre de 1890, le député puis sénateur de la Loire, Étienne Brossard (1839-1894), écrivait à Gustave Lefebvre : "Monsieur, Je vous félicite de l'excellente idée que vous avez eue de publier les procès-verbaux de la Société républicaine de Saint-Chamond de 1793 ; il est bien regrettable que les registres de la société des Jacobins de la même ville de 1790, affiliée dès le mois de Juin 1790 à celle de Paris, aient disparu ; enrichie de vos notes, cette publication eût été précieuse pour notre région" (lettre autographe signée).

 

 

Stéphane Bertholon (1862-1931)

Stéphane Bertholon en 1907
   Stéphane Bertholon (?)
           en 1907

Stéphane Bertholon était un industriel en soie, appartenant à la confrérie des passementiers (dont il fut même syndic en 1894 et 1895). Passionné de musique, il a dirigé la société musicale La Philarmonique de Saint-Chamond pendant trente-et-un ans.

  • Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond, impr. Théolier, Saint-Étienne, 1927, 305 p.

- sur ce blog : "Stéphane Bertholon (1862-1931), historien de Saint-Chamond, éléments biographiques", Michel Renard.

 

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François Gonon (1863-1957)

François Gonon 1863-1957

François Gonon est né le 23 décembre 1863 à Saint-Étienne et mort le 16 octobre 1957 à Saint-Chamond. Il était photographe, ayant ouvert son atelier en 1888, rue de la République à Saint-Chamond. Il est l'auteur de plusieurs travaux sur l'histoire régionale.

  • François Gonon, Notre vieux Saint-Chamond (notes historiques). La paroisse Notre-Dame et son histoire (documents d'archives), 1944.

 

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Mathieu Fournier (1868-1963)

tombe Mathieu Fournier 20 avril 2016

Mathieu Fournier, né à Saint-Étienne, était un instituteur qui a terminé sa carrière à Saint-Chamond. Il a aussi écrit sous le pseudonyme de Jean Châtelus. Voir sa notice biographique par Gilbert Gardes (Cnrs).

  • Mathieu Fournier, Tableaux de la vie saint-chamonaise, Librairie A. Bordron, Saint-Chamond, 1949, 147 p.

 

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Michael P. Hanagan (né en 1947) 

Michael Haganan portrait

Michael P. Hanagan est né en 1947. Il enseigne au Vassar College à New York.

  • Michael Hanagan, "Artisans and Industrial Workers in Sainy-Chamond, 1871-1914", extrait de The logic of solidarity. Artisans and Industrial Workers in three french towns, 1871-1914, University of Illinois Press, 1980.

 

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Lucien Parizot (1921-2011)

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Mort le 23 septembre 2011 à Saint-Chamond.

Il est l'auteur de plusieurs articles dans Gerval, publication des Amis du Vieux Saint-Chamond : "Histoire de chanoines : Pour une grand-messe !...", n° 10-12, 1978, p. 238-241 ; "Histoires de reliques. Saintes vicissitudes !...", n° 13-16, 1979, p. 363-373 ; "La pacification religieuse après la Révolution", n° 25-28, 1982, p. 683-688 ; "Les tableaux flamands de Saint-Chamond", n° 28, 1982, p. 672-675.

  • Lucien Parizot, La Révolution à l'oeil nu. L'exemple du Lyonnais vécu à Saint-Chamond et en Jarez, éd. Val Jaris (par l'auteur), 1987.

 

Lucien Parizot couv

 

 

 

Elinor Accampo (née en 1949)

Elinor Accampo

Professeur d'histoire à l'université de Californie du Sud.

  • Elinor Accampo, Industrialization, Family Life, and Classe Relations, Saint-Chamond, 1815-1914, The University of California Press, Berkeley-Los Angeles-London, 1989, 301 p.

On attend toujours une traduction française de cet ouvrage [Industrialisation, familles et rapports de classes à Saint-Chamond, 1815-1914].

- sur ce blog : "Entre la classe sociale et la cité : identité et intégration chez les ouvriers de Saint-Chamond, 1815-1880", Elinor Accampo, Le Mouvement Social, n° 118, janvier-mars 1982, p. 39-59 [début de l'article].

 

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Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme ()

Père Pupier (4)  Georges Delorme portrait
Père Pupier et Georges Delorme

Gabriel Pupier fut directeur de l'école professionnelle La Grand'Grange à Saint-Chamond, de 1952 à 1986. Il est mort le 3 février 2013.

Georges Delorme a travaillé pendant vingt ans pendant à R.C.F. (Radio chrétienne de France) à Lyon.

  • Père Pupier et Georges Delorme, Sur les ruines du château… «des fleurs ont poussé». Saint Ennemond. La Grand’Grange, additif n° 94 de l'Écho de la Grand'Grange,‎ 1989, 374.

 

Deux fleurs ont poussé couv

 

 

 

Éric Perrin (né en 1965)

Éric Perrin portrait
photo Le Progrès

Éric Perrin est historien, attaché de conservation au département Patrimoine Armes du Musée d'art et d'industrie de la ville de Saint-Étienne. Il est l'auteur du travail le plus fourni sur l'histoire des Aciéries de la Marine.

  • Éric Perrin, F.A.M., C.A.F.L., Creusot-Loire. Des années 30 à nos jours. Mémoires d'un demi-siècle d'industrie métallurgique en région st-chamonaise, impr. Reboul, Saint-Étienne, 1996, 479 p.
  • Éric Perrin, Mémoires en images : Saint-Chamond, éd. Alan Sutton, 2002, 128 p.

 

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Gérard Chaperon (né en 1922)

Gérard Chaperon portrait
photo Le Progrès

Gérard Chaperon est un médecin, arrivé à Saint-Chamond en 1955. Depuis sa retraite, il se consacre au patrimoine historique de sa commune de Cellieu. Il est l'auteur de : Cellieu, un village du Jarez au cours des âges, éd. Actes Grahiques, 1999 ; et Le bassin minier de la vallée du Gier, éd. Actes Graphiques, 2004.

  • Gérard Chaperon, Saint-Chamond, au fil du temps, éd. Actes Graphiques, 2010.

 

Gérard Chaperon couv

 

 

 

II - périodiques

 

Amis du Vieux Saint-Chamond portraits

Gerval (1976-1983) et Le Jarez d'hier et d'aujourd'hui (depuis 1983) sont les publications éditées par les Amis du Vieux Saint-Chamond. Elles contiennent des centaines d'articles.

 

Gerval couv (1)   Le Jarez couv

 

 

 

III - brochures et plaquettes

 

  • L'empire des Forges et Aciéries de la Marine, C.E.R.P.I., 1996, 64 p.
  • Le site Gillet, C.E.R.P.I., 2003, 48 pages.
  • Chavannes-Brun Frères. 130 ans de métallurgie, C.E.R.P.I., 2013, 108 p.
  • Char d'assaut Saint-Chamond, C.E.R.P.I., 2014, 56 p.
  • 1914-1918 : Saint-Chamond, un grand arsenal pour la France, C.E.R.P.I., 2014, 200 p.
  • Les Forges de Lavieu. 150 ans d'outils de jardinage, C.E.R.P.I., 2015, 104 p.

 

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Cerpi (4)    Cerpi (3)    Cerpi (5)

 

Le C.E.RP.I. est le Centre d'Études et de Recherches du Patrimoine Industriel du Pays du Gier : site.

 

 

IV - mémoires de maîtrise d'histoire

 

  • Olivier Philibert, L'Hôtel-Dieu de Saint-Chamond, de 1561 à 1790, mémoire de maîtrise, 1998-1999, Saint-Étienne.

 

 

V -  iconographie commentée

 

Henri Gidrol portrait
   Henri Gidrol, en 1994

Henri Gidrol a été maire-adjoint de Saint-Chamond, de 1959 à 1977.

 

 

VI - roman historique

 

  • Mathieu Fournier, La vallée ardente ; scène de la vie populaire ; Saint-Étienne, librairie Dubouchet ; Saint-Chamond, librairie Bordron ; 1938.

 

 

Michel Renard
professeur d'histoire, chercheur

 

 

 

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